Néanmoins, dans ce dossier -non signé hélas-, il est écrit noir sur blanc : « Reste à améliorer la législation sur les nouvelles technologies ». C’est on-ne-peut-plus clair : la balle est vraiment dans le camp des députés nouvellement élus qui commenceront à siéger à l’Assemblée nationale de Tsimbazaza, peu de temps après la proclamation officielle des résultats par la Haute Cour Constitutionnelle. En attendant, admirez quelques membres au féminin d’Osmosis Business Solutions Océan Indien.

Enfin, bien que cette société soit assez méconnue du public malgache, les spécialistes, eux, en font un grand cas car leur domaine d’activités est un secteur plus que porteur et constitue la pierre angulaire même du devenir des relations humaines à l’échelle planétaire. Vous pensez que je dis vague et que je divague ? Dans ce cas, votre disque dur cérébral est atteint du virus de la régression.

A titre d’information pure -cela fait partie de la culture-, ce dossier dévoile qu’un projet de technopole, financé par la Banque mondiale, est en bonne voie. « Ce projet se dotera d’une infrastructure adéquate au développement des activités Tic. Selon l’étude menée par le projet Pic (Pôle intégré de croissance), dans le cadre de la mise en place de cette technopole, le tissu industriel des Tic à Madagascar est actuellement composé de 200 entreprises, tous secteurs confondus ». Sur ce chiffre, il y en aura qui trouveront toujours à redire, en faisant des comparaisons, avec plus de 600 entreprises françaises et le double dans le secteur informel qui utilise l’informatique d’une manière ou d’une autre. Comparez, comparez donc, il en restera toujours quelque chose mais ne restez pas les bras croisés !

Jeannot Ramambazafy

Journaliste

Madagate.com MADAGASCAR