Photos de haut en bas et de gauche à droite : Hery Rajaonarimampianina, Voahangy Rajaonarimampianina, Me Nicole Andrianarivoson, Tsilavina Ralaindimby; Richard Ramamonjiarijaona, Colonel Heritiana Rakotoarimanana, Harison Edmond Andrianarimanana (conseiller spécial du Président de la république mais également Président du Conseil d'administration de la SECREN S.A. Antsiranana, depuis le 11 mai 2015)
Au plus haut sommet de l’Etat malgache, certains sont conscients qu’il faut absolument travailler en professionnel pour faire avancer les choses. Seulement, c’est au niveau de la communication, de la publication de ce travail qui continue à être… exaspérant en ce siècle des NTIC.
Ainsi, si le ministre de l’Environnement, Beboarimisa Ravalava n’a pas été du voyage londonien et cambridgien, c’est tout simplement parce qu’il était en train de dresser la liste des partants, devant assister au Sommet COP21 à Paris. Et il a fait son boulot. Hélas, la liste qui suit n’est publiée nulle part sur les sites officiels de l’actuel gouvernement de Madagascar. Pourquoi ?
Heureusement, certains des bailleurs de fonds sont des entités qui ont signé une charte de transparence. Il n’y a qu’à Madagascar que tout se fait en cachette, en catimini. Comme pour dissimuler quelques actes allant à l’encontre des lois en vigueur. Comment voulez-vous que Madame Rumeur ne règne pas en maîtresse dans ce pays ? Et Monsieur Diviser-pour-régner a encore de beaux jours devant lui !
Cependant, l’opinion publique, en général, a le droit à l’information. Surtout en ce qui concerne un évènement planétaire. Qui est qui et qui fait quoi exactement? Qui manque et qui est de trop? La liste ci-après vous donnera donc une idée des attributions des uns et des autres. Mais après les attentats meurtriers du vendredi 13 novembre à Paris, cette liste sera certainement révisée à la baisse… Qui partira ? Qui restera ? Ben ceux qui seront pris en charge par des entités spécialisée ont déjà un pied dans l'avion. Le reste... Quant aux professionnels de la presse privée, ils sont... privés. Sauf le journal "Malaza" et la radio "FMA" ("Feo Mazava Atsinanana"). No comment. mais je vais démontrer à ce régime, qui impose un diktat, aussi ridicule qu'inutile que madagate sera aux premières loges grâce à son réseau de correspondants.
Jeannot Ramambazafy – 25 novembre 2015
