Sourires aux lèvres, livres et cartable sur le dos, nos bambins rejoignent le chemin de l’école avec élégance et confiance. Pour la majorité d’entre eux, l’école est loin d’être une contrainte, fort heureusement d’ailleurs, car l’école est une chance, même si elle devrait être un droit pour chaque enfant, ce n’est pas toujours le cas dans la plupart des pays au monde, hélas.
La volonté est là , mais reste à trouver les moyens pour concrétiser l’essentiel. Le projet devrait permettre de fabriquer des livres à Madagascar et surtout d’aider les auteurs malgaches, car le talent d’écrivain, aussi brillant soit il, ne suffit pas. Il faut aussi, de l’argent, voire beaucoup d’argent, le nerf de la guerre.
Dans un interview qu’il a accordé à MADAGATE.com, lors d’une des manifestations sur le projet « BOKIKO », au Cité Universitaire à Paris, Monsieur Philippe Rajaona, porte parole de l’Association «Hetsika Diaspora France » révèle au public, la stratégie que son Association compte mettre en œuvre afin de trouver le financement de ce projet, sans attendre les bailleurs de fonds traditionnels ou quelconque crédit bancaire.
Les malagasy de l’extérieur compte plus de 100 000 personnes recensées à ce jour. Si chacun ne verse que « UN EURO » par mois, cela fait au total un million d’euros en dix mois. En moins d’un an, l’argent récolté peut vite porter ses fruits aux bénéficiaires finaux...
...Les héritiers de Madagascar !
Bonne rentrée à tous.
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