VACCIN ANTI-POLIO:
Les écoles catholiques refuseront de faire vacciner leurs élèves, durant la septième campagne de vaccination anti-poliomyélite (également appelée maladie de Heine-Medin) qui débute ce 14 mars 2016. Les responsables de ces écoles soulignent que la vaccination est la responsabilité des parents et non celle des écoles. Cette décision est surtout prise pour éviter d’endosser la responsabilité en cas d’accident durant cette campagne.
(source: Orange.mg)
Ce dossier éclairera les zones d’ombre et donneront raison à de nombreux parents malgaches que l’on taxe trop d’avoir des idées rétrogrades.
En tout cas, il n’y a rien à attendre du pouvoir actuel. Et le ministre de la Santé ne bougera pas le petit doigt pour protéger ses compatriotes. Et même, il ne sait pas, lui-même s’il doit attendre des ordres du président de la république ou de l’OMS.
Afin d’éviter d’être taxé d’oiseau de mauvaise augure, les documents suivants ne sont que la face cachée d’un iceberg de mensonges liées encore, et toujours, à une sale histoire de gros sous au niveau des laboratoires pharmaceutiques. Quand bien même la vaccination contre la polio est « gratuite ». Ce, avec la complicité de certains grands médias occidentaux pour qui des pays comme Madagascar, doivent demeurer colonisés dans tous les domaines. Ce n’est pas un Hery Rajaonarimampianina qui inversera cette tendance. Bien au contraire… Je n’ai aucun commentaire à faire. Une fois informés -et bien informés cette fois-ci-, à vous de décider pour votre propre descendance prise en otage à travers le slogan “ C’est le droit de chaque enfant d’être vacciné, faites vacciner votre enfant ". Mais personnellement, je n’ai jamais été vacciné contre la poliomyélite et j’ai bien atteint 62 ans sans avoir été... atteint par la poliomyélite. Serai-je donc un… Martien? Mais tout cela ne signifie pas que je suis systématiquement contre toute vaccination.
Enfin, vers la fin de ce dossier, et à titre informatif pur, je publie le communiqué conjoint de l’Oms, l’Unicef, l’Usaid et autres clubs rotariens…
Jeannot Ramambazafy – 15 mars 2016
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30 ans de camouflage et mensonges sur les vaccins viennent d’être mis au grand jour
Des documents britanniques mettent à jour 30 années de camouflage
Le « Freedom of Information Act 2000 » (Acte donnant libre accès à des documents secrets) au Royaume-Uni auquel a eu recours un médecin, a permis de révéler le contenu de 30 années de documents officiels secrets montrant que les experts gouvernementaux:
1. Savaient que les vaccins ne fonctionnaient pas
2. Savaient que les vaccins pouvaient provoquer les maladies qu’ils étaient sensés prévenir.
3. Savaient que les vaccins présentaient des dangers pour les enfants
4. Se sont entendus pour mentir au public
5. Se sont attelés à empêcher les études de sécurité.
Ce sont ces mêmes vaccins qui sont rendus obligatoires pour les enfants américains.
Les parents peuvent soit épargner tout ce mal à leurs enfants, soit continuer à s’incliner devant l’un des plus affreux mensonges de l’histoire, ce mensonge qui veut faire croire que des vaccins – remplis de métaux lourds, de maladies virales, de mycoplasme, de matières fécales, de fragments d’ADN d’autres espèces, de formaldéhyde, de polysorbate 80 (Agent stérilisant) – sont un miracle de la médecine moderne.
Un médecin américain dont le fils est autiste a eu recours au « Freedom of Information Act » pour obtenir des documents du CDC (Centres Américains de Contrôle des Maladies). Il voulait avoir accès à l’information que possédait le CDC au sujet des dangers que présentent les vaccinations. Selon la loi, il devait recevoir réponse dans les 20 jours. Pratiquement 7 ans plus tard, le médecin s’adressa finalement à la justice, et c’est là que le CDC a fait valoir qu’il n’était pas obligé de remettre ces documents. Finalement, un juge a ordonné au CDC de remettre ces documents au médecin pour le 30 septembre 2011.
Le 26 octobre 2011, l’éditorialiste du « Denver Post » s’est dit choqué que l’administration Obama, après avoir promis d’être particulièrement transparente, proposait des modifications au « Freedom of Information Act », permettant d’entraver la révélation de documents secrets en autorisant les agences gouvernementales (comme le CDC) à déclarer certains documents « inexistants ». […]
Le CDC agit manifestement à l’encontre de la santé de la population américaine. Mais la menace que présente le comportement du CDC sur la vie des Américains ne s’arrête malheureusement pas là . Il a participé à l’élaboration des lois concernant les pandémies qui permettent au gouvernement d’utiliser l’armée, en cas d’urgence pandémique déclarée, pour contraindre toutes les personnes du pays à subir des vaccins non testés, des médicaments, des produits chimiques et d’autres traitements « médicaux ».
En se basant sur le « Freedom of Information Act », on peut dire que le CDC perdrait toute crédibilité s’il devait déclarer pareille urgence pandémique. Après avoir déclaré la pandémie du H1N1 en 2009, le CDC a refusé de répondre à la requête d’information de CBS qui s’en référait au « Freedom of Information Act ». A cette époque, le CDC a tenté de bloquer toute leur enquête. Ce que voulait cacher le CDC, c’était son propre rôle dans un des plus grands scandales médicaux de l’histoire, en s’en référant à des données follement exagérées sur les cas de grippe H1N1 en vue de créer une fausse impression de « pandémie » aux Etats-Unis.
Le CDC a aussi dissimulé un scandale financier concernant la fausse pandémie qui a coûté des milliards de dollars. Il y a pire, le CDC n’a pas hésité à mettre les femmes enceintes en première ligne pour un vaccin non testé qui comprenait un agent stérilisant, le polysorbate 80. Grâce au CDC, le nombre de rapports de morts fœtales a augmenté de 2.440% en 2009 comparativement aux années précédentes ; situation qui est encore plus choquante que les statistiques de fausses couches qui avaient augmenté de 700%. […]
En tentant de sauver les derniers vestiges du secret qui concerne les vaccins et en déclarant que les documents de l’Agence sont inexistants, l’Administration Obama a réduit à néant toutes ses prétentions à la transparence. Mais les lois prévues pour rendre obligatoires des vaccins pandémiques peu connus sont toujours en place et toute responsabilité a été dissoute. Il n’empêche qu’une étude canadienne vient de montrer que le vaccin contre la grippe qui contient le H1N1 et qui a tué des bébés in utero, contribue en fait à augmenter le risque de pandémie.
Les américains qui ont été dupés en soumettant leurs enfants aux vaccins meurtriers du CDC possèdent aujourd’hui des moyens de riposte. Les personnes de tous horizons, de chaque organisation doivent :
1. Prendre connaissance des textes révélés grâce au Freedom of Information Act du Royaume Uni et qui ont trait aux mensonges sur les vaccins. Ces personnes doivent prendre connaissance du refus du CDC de fournir quelque information que ce soit sur ce qu’ils savent au sujet de ces mensonges ; elles doivent aussi prendre connaissance des efforts déployés par l’administration Obama pour camoufler ce que sait le CDC au sujet de ces mensonges. Ces personnes doivent contacter leurs représentants et exiger l’annulation immédiate du calendrier vaccinal du CDC et des lois concernant les pandémies.
2. Informer chaque vétérinaire, personnel militaire, policiers, agents du DHS, ainsi que le personnel médical de toute la mystification vaccinale. Expliquer à ces personnes que leurs familles sont aussi gravement menacées. Ces personnes ne pouvaient probablement pas savoir qu’elles avaient été manipulées à l’intérieur même de leurs structures par l’industrie pharmaceutique qui les ont transformées en agents meurtriers grâce à la déclaration de « pandémie » ou « d’attaque bioterroriste ». Il est tout à fait clair aujourd’hui que les structures terroristes/bioterroristes ne sont que des escroqueries. Ainsi tous les projets qui sont envisagés pour « protéger » le pays sur la base de ces mêmes lois ne feraient que menacer l’existence et la liberté des américains.
Grâce au Freedom of Information Act (FOIA), nous savons que le calendrier des vaccinations relève du canular. Ce sont les vaccins qui constituent un danger pour la santé des enfants et des adultes Américains.
Ce sont aujourd’hui des vaccins obligatoires, mal testés avec des adjuvants dangereux qui menacent le pays et qui pourraient provoquer quantité de morts. A l’extérieur d’Atlanta, le CDC a stocké quelque 500.000 cercueils géants, construits pour être incinérés. Il commence à devenir clair que le CDC ne devrait en aucune façon être mêlé de quelque manière que ce soit aux problèmes de santé publique.
Grâce au « Freedom of Information Act », nous savons aujourd’hui que les vaccins ne constituent nullement le miracle de la médecine moderne que l’on a voulu nous faire croire. Toute autorité médicale ou gouvernementale qui prétendrait que les vaccins préviennent les maladies, ignore les documents gouvernementaux comme les innombrables études qui révèlent l’exact opposé, mais ignore également les tentatives du CDC de cacher au public la vérité sur les vaccins.
Source originale: http://nsnbc.me/2013/05/10/the-vaccine-hoax-is-over-freedom-of-information-act-documents-from-uk-reveal-30-years-of-coverup/
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« VACCIN, on nous aurait menti? »
Ils sont inefficaces, nous rendent malades, détruisent notre immunité naturelle, mais ils sont obligatoires
Par Maître Jean-Pierre JOSEPH
Édition Poche Vivez Soleil, NOUVELLE ÉDITION parue à TESTEZ ÉDITIONS
Me Joseph est instructeur fédéral de karaté, diplômé de la Fédération française de karaté (F.F.K.A.M.A.), membre du jury des grades de la ligue Dauphiné-Savoie de la F.F.K.A.M.A. Il est avocat au Barreau de Grenoble. Il a été chargé de cours de Droit comparé à l’Université de Glasgow, dans les années soixante-dix, puis président de Maison pour tous de quartiers dits «sensibles» pendant 10 ans, et animateur bénévole de quartier. Il est un des fondateurs de la première expérience d’autogestion d’un Centre socioculturel en 1973, avec baisse de plus de 70% de la délinquance sur un quartier.
Extraits de son livre.
Un jour le médecin scolaire, voyant que je n’étais pas vacciné contre la polio (dans ma vie, je n’ai eu qu’un seul vaccin: l’antivariolique), me dit: «Libre à toi d’attraper la maladie, mais ce qui est grave est que tu risques de contaminer tes camarades...». Très naïvement je lui demandais: «Comment pourrais-je les contaminer, puisqu’ils sont vaccinés?». Ce n’est pas la paire de claques que j’ai reçue à ce moment-là qui m’a marqué le plus, mais son air consterné, presque effrayé. Je crois que c’est ce jour-là que j’ai décidé qu’à l’avenir je serai toujours insolent, d’autant plus que, les années suivantes personne ne me reparla des vaccins... Toutefois, ce n’est que 40 ans plus tard que j’ai compris pourquoi mes camarades qui ont eu la polio, étaient pourtant vaccinés, et pourquoi je ne l’ai pas eu, alors que je ne l’étais pas.
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Antananarivo, le 14 Mars 2016: La campagne nationale de vaccination contre la poliomyélite a été lancée ce jour à Sakaraha, région d’Atsimo Andrefana. Le Ministère de la Santé Publique et ses partenaires, dont l’OMS, l’UNICEF, l’USAID, l’Alliance GAVI et le Rotary International, dans le cadre de l’Initiative Mondiale de l’Eradication de la Polio, maintiennent leur engagement pour le bien-être des enfants de Madagascar. La 7ème campagne nationale de vaccination contre la poliomyélite se déroulera du 14 au 18 Mars 2016. Pendant cinq jours, près de 4.300.000 enfants de 0 à 59 mois à travers le pays seront vaccinés contre cette maladie.
Cette campagne s'inscrit dans le cadre de la riposte nationale faisant suite à la résurgence de nouveaux cas de poliovirus dans le pays en 2014 et 2015 après 9 ans d’absence. Cette 7ème édition concernera uniquement les enfants de moins de 05 ans, quel que soit leur statut vaccinal. En effet, c’est de façon exceptionnelle et urgente que cette tranche d’âge avait été élargie, pendant les dernières campagnes nationales de vaccination successives qui se sont déroulés en 2015, et ce, suite à la détection de deux cas de polio chez des enfants âgés de plus de 5 ans.
« A Madagascar, la lutte contre la poliomyélite bénéficie de soutiens indéfectibles au plus haut niveau de l’Etat et cette implication s’est traduite en actions diverses à travers la mise en œuvre d’une série de campagnes de vaccination au cours de l’année 2014 et 2015. Grâce à l’engagement sans faille du gouvernement et de ses partenaires, ainsi que les nombreux acteurs de lutte multisectorielle, des millions d’enfants ont été vaccinés à travers tout le pays » a affirmé le ministre de la Santé Publique, Professeur Mamy Lalatiana Andriamanarivo, lors de son allocution.
Par le fait que, recevoir plus de doses vaccins augmente l’immunité collective d’une communauté, il est nécessaire d’organiser plusieurs campagnes au cours de l’année à l’exemple des certains pays qui ont déjà certifié l’arrêt de la circulation. Pour cette année 2016, la lutte contre la poliomyélite se poursuit et les efforts et stratégies de mobilisation sociale ont été renforcés afin d’atteindre tous les enfants de 0 à 59 mois, spécialement ceux dans les zones reculées.
Des initiatives innovantes pour encourager tous les parents et la communauté à faire vacciner tous les enfants de 0 à 59 mois où qu’ils se trouvent ont été mises en place sur le terrain. En outre, encore une fois, les Maires et les Présidents des fokontany ont été impliqués dans les activités de préparation de la campagne, afin de faciliter l’identification et l’accès aux enfants dans les zones enclavées notamment. L’objectif est d’avoir le maximum d’enfants vaccinés. Non seulement cela signifie pour eux un espoir de mieux réaliser leur droit à la santé en particulier, et à leur survie de façon générale, mais aussi, Madagascar pourra enfin prétendre à l’éradication prochaine de la poliomyélite.
La stratégie de vaccination porte-à -porte par les agents communautaires formés à cet effet a été, une fois de plus, préconisée pour que toutes les enfants soient atteintes et reçoivent les deux doses nécessaires. Néanmoins, la vaccination peut se faire également dans les Formations Sanitaires, ou dans les places réservées pour la campagne, comme les marchés ou les autres endroits identifiés par les fokontany.
“Zon’ny zaza ny ho salama, ataovy vaksiny ny zaza”
“ C’est le droit de chaque enfant d’être vacciné, faites vacciner votre enfant "