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Hanitra Razafimanantsoa a de qui tenir dans ses grotesques mensonges

Pour une prĂ©tendue avocate, confondre « rejet » et « renvoi » est la pire des fautes, qui annihile Ă  jamais les chances pour un Ă©tudiant en droit, de rĂ©ussir son examen de licence. Mais il semble que cette Me Hanitra Razafimanantsoa, avocate du diable sur terre (qui a fini par terre), a pour maĂźtre le docteur professeur honoris causa Marc Ravalomanana, PrĂ©sident des arracheurs de dents par excellence. C’est d’ailleurs le titre d’un dossier que j’avais rĂ©digĂ© il y a 10 ans.

Mentir comme un arracheur de dents : Cette expression du XVIIe siĂšcle fait rĂ©fĂ©rence aux dentistes qui, autrefois, offraient leurs services sur les places publiques et dans les foires, affirmant que le patient ne souffrirait pas. On l’utilise toujours pour parler d’une personne qui ment sans aucun scrupule. (linternaute.com). Retour sur une tranche de l’Histoire politique rĂ©cente de Madagascar. Pourquoi maintenant ? Parce qu’il me sera difficile d’écrire dans ma tombe, les gars ! Vous n’y avez pas pensĂ©, n’est-ce pas ? Ndao !

Andry Rajoelina a Ă©tĂ© maire d’Antananarivo de 2007 Ă  2009, annĂ©e oĂč il est devenu le leader des opposants du rĂ©gime de Ravalomanana, prĂ©sident de la RĂ©publique de fĂ©vrier 2002 Ă  mars 2009. Son arrivĂ©e Ă  la tĂȘte de l’État, le 17 mars 2009, a suscitĂ© des dĂ©bats passionnĂ©s et partisans. Pour ses opposants, il s’agissait d’un coup d’État, tandis que ses partisans le contraire. Voici la vĂ©ritĂ©, sinon les vĂ©ritĂ©s absolues.

Sous la pression de la rue, Marc Ravalomanana a dĂ©missionnĂ© le 17 mars 2009 Ă  travers une brĂšve intervention Ă  la Tvm (TĂ©lĂ©vision nationale malagasy). Il a remis le pouvoir Ă  un directoire militaire qui, Ă  son tour, sous la pression des militaires soutenant Rajoelina, a transmis Ă  ce dernier le pouvoir dans la nuit du 17 au 18 mars 2009. Cette deuxiĂšme remise de pouvoir a Ă©tĂ© prĂ©cĂ©dĂ©e d’un Ă©pisode de violences Ă  l’Episcopat d’Antanimena, commises par des militaires soutenant Rajoelina -dont le « fougueux » commandant Charles Andrianasoavina-, en prĂ©sence de diplomates internationaux, de chefs religieux, de politiciens, etc. Ces scĂšnes ont fait le tour du monde et ont Ă©tĂ© mises Ă  profit par les GTT pro-Ravalomanana, Ă  l’extĂ©rieur de Madagascar, pour mettre en valeur leur idĂ©e fixe de coup d’Etat.

AprĂšs sa dĂ©mission, Marc Ravalomanana s’est exilĂ© au Swaziland avant de se rendre Ă  Johannesburg, en Afrique du Sud, sa destination finale. Le 30 avril 2009, Ă  Mbabane, intervenant Ă  la tribune du sommet extraordinaire de la SADC (CommunautĂ© de dĂ©veloppement de l’Afrique australe), l’ancien chef d’Etat a relatĂ© Ă  sa façon sa fuite et les derniers moments de son sĂ©jour au palais d’Etat d’Iavoloha. Il a affirmĂ© qu’il « a Ă©tĂ© forcĂ© de quitter le pouvoir sous la menace d’armes le 17 mars 2009 ». Et de poursuivre en dĂ©clarant que sa femme et son fils Ă©taient, pendant ce temps, obligĂ©s de se cacher dans la forĂȘt car ils Ă©taient entourĂ©s par des soldats qui les menaçaient. Voici les termes exacts de son intervention, ce 30 avril 2009 : « (
) Votre MajestĂ©, vos Excellences, je n’ai jamais dĂ©missionnĂ©, j’ai Ă©tĂ© forcĂ© de transmettre mon pouvoir sous la menace d’armes, ce 17 mars. Ma famille et moi Ă©tions encerclĂ©s par des soldats qui menaçaient nos vies. Mon fils et sa femme ont Ă©tĂ© obligĂ©s de se cacher dans la forĂȘt. Le seul Ă©chappatoire pour nous Ă©tait de quitter le pays (
) ».

Ces dĂ©clarations ravalomananiennes ont Ă©tĂ© dĂ©menties par l’ambassadeur amĂ©ricain Ă  Madagascar Ă  l’époque, Niels Marquardt. Celui-ci a dĂ©clarĂ© dans la presse malgache, dont « Midi Madagascar » et « La VĂ©rité », en avril 2009 : « C’est faux ! Pour ce qui s’était passĂ© le 17 mars dernier, j’étais deux fois Ă  Iavoloha, nous n’avons pas vu la prĂ©sence de militaires, ni de vĂ©hicules militaires. En un mot, je n’avais vu aucun soldat, Marc Ravalomanana a dĂ©missionnĂ© et c’était Ă  nous qu’il a remis sa dĂ©mission. Il aurait dĂ» passer le pouvoir au prĂ©sident du SĂ©nat, selon la Constitution malgache ».

Et voici le programme de Marc Ravalomanana, toujours devant la SADC Ă  Mbabane, pour « sauver Madagascar ». «  (
) Votre MajestĂ©, vos Excellences, la seule solution Ă  cette crise est le retour au pouvoir du gouvernement dĂ©mocratiquement Ă©lu. C’est ce que le peuple de Madagascar rĂ©clame. C’est pourquoi il y a eu des manifestations quotidiennes dans diffĂ©rents endroits du pays pour demander mon retour. Le coup d’État et l’actuel rĂ©gime sont en train de dĂ©truire Madagascar tous les jours. Une partie de l’armĂ©e est hors de contrĂŽle. Les fonctionnaires sont en grĂšve. Les fonds du gouvernement ont Ă©tĂ© retirĂ©s. La population refuse de payer des taxes Ă  un gouvernement non Ă©lu. Pour toutes ces raisons, je demande votre aide pour sauver Madagascar du chaos et de l’anarchie. J’ai besoin de votre aide pour revenir dans mon pays. La situation qui prĂ©vaut Ă  Madagascar est inacceptable. L’État de droit et la dĂ©mocratie doivent ĂȘtre restaurĂ©s. Une fois revenu au pouvoir, je prendrai les mesures suivantes : 1. Mettre en place un gouvernement de consensus et inclusif ; 2. Mettre en place une Commission Électorale indĂ©pendante ; 3. Restructurer et rĂ©former l’armĂ©e et la police avec l’aide de la SADC et d’autres partenaires ; 4. AmĂ©liorer l’atmosphĂšre des affaires ; 5. Assurer que l’Etat de droit soit respecté ; 6. Tenir des consultations nationales sous la forme d’un rĂ©fĂ©rendum ou d’une Ă©lection prĂ©sidentielle anticipĂ©e. En conclusion, je fais un appel solennel Ă  la SADC pour qu’elle intervienne pour dĂ©loger les insurgĂ©s et restaurer la dĂ©mocratie dans mon pays ».

Cette manie de toujours appeler la communautĂ© internationale Ă  la rescousse, est devenue une
 marque de fabrique ravalomanananienne, ajoutĂ©e Ă  des fourberies de Scapin comme pas possibles. En effet, au dĂ©but du mois de juillet 2009, une fois bien installĂ© Ă  Johannesburg, Marc Ravalomanana fait des siennes. Des dĂ©marches Ă©ventĂ©es par le journal « Mail & Guardian ». Voici des extraits de l’article intitulé : « Mercenaries plan Madagascar coup » et demandez Ă  Hanitra Razafimanantsoa de vous en faire une traduction. Vous risquez d’ĂȘtre Ă©tonnĂ©s : « South African mercenaries have been recruited to reinstate deposed Malagasy president Marc Ravalomanana, security-sector sources have told the Mail & Guardian. Ravalomanana has been based at a luxury Sandton hotel since fleeing Madagascar in March. Central to the efforts allegedly are two security operatives who participated in the failed Equatorial Guinea coup attempt five years ago. Already before Rajoelina’s accession to power, his camp made accusations about South African mercenary support for Ravalomanana. The M&G has confirmed the presence of three South African “instructors” in Madagascar at the time. Three sources connected to the local security sector, speaking on condition of anonymity, told the M&G of the alleged mercenary effort. The M&G also obtained a weapons procurement list allegedly circulated on behalf of the Ravalomanana camp. (
) However, the latter, chaired by President Jacob Zuma, said two weeks ago that it favoured negotiations and called on all parties to “desist from any violent solutions” ».

D’aucuns se rappellent la prĂ©sence d’hommes blancs de fortes statures sur la place du 13-mai Ă  l’époque. Dans le dossier que j’ai rĂ©digĂ© le 2 aoĂ»t 2011, je disais : La suite ? S’il persiste Ă  rater les occasions de se taire (« ny mangina volamena »), ce docteur professeur honoris causa, sera dĂ©laissĂ© par ceux-lĂ  mĂȘme qui l’encensent encore. Pour l'heure, il paie trĂšs cher des gars comme le Sud-africain blanc Peter Mann pour parler de gangstĂ©risme... Mot peu usitĂ© Ă  Madagascar. Et c’est ici que je rappelle Ă  ce "saint" Marc (il parle trop souvent de Dieu Ă  tort et Ă  travers): "Tu dis : je suis riche, j'ai gagnĂ© beaucoup d'argent, je n'ai besoin de rien. Mais en fait, tu es malheureux, tu mĂ©rites la pitiĂ©, tu es pauvre [spirituellement], aveugle et nu ». (Apocalypse, 3-17). A ce prĂ©sident des arracheurs de dents donc de voir comment il entend finir ses derniers jours sur terre. Il aura 62 ans en dĂ©cembre. Et la vie se poursuivra avec ou sans lui.

Nous sommes en 2021. Marc Ravalomanana aura 72 ans en dĂ©cembre et il a perdu les Ă©lections prĂ©sidentielles de 2018 ; le parti TIM qu’il a fondĂ© n’a que 16 dĂ©putĂ©s sur 151 Ă  l’AssemblĂ©e nationale ; il n’y a aucun SĂ©nateur Ă©lu avec cette Ă©tiquette car il a demandĂ© Ă  ses grands Ă©lecteurs de boycotter les Ă©lections sĂ©natoriales de 2010. Actuellement, il passe son temps Ă  appeler la communautĂ© internationale pour tenter de l’aider Ă  se remettre en selle. Peine perdue, le monde a enfin dĂ©couvert son vrai visage, ses vĂ©ritables intentions. Cependant, espĂ©rant sans doute parvenir Ă  faire du neuf avec du vieux, un trio infernal de pseudo-chroniqueurs (Hanitra Razafimanantsoa, Vonison Andrianjato et FidĂšle Razara Pierre) est montĂ© au crĂ©neau pour dĂ©fendre Marc Ravalomanana en inventant tout et n’importe quoi sur toutes les dĂ©cisions prises par les tenants du pouvoir actuel. Ce, sur les ondes des radios suivantes, si ça vous intĂ©resse d’écouter leurs Ă©lucubrations : radio Mada, I-BC radio, MBS radio, AZ radio, Soa radio. Des affirmations qui ne reposent sur aucun document, aucune preuve, mais avec la seule conviction de penser que brailler allait changer le cours des choses. Et des tas de gogos les croient via facebook. Seulement, comme tant d’autres avant eux, ils finiront en prison pour non-respect des lois en vigueur Ă  propos de « fakenews » et de propos haineux envers le PrĂ©sident de la RĂ©publique dans l’exercice de ses fonctions. Et quid aussi de la diffamation ?

Selon le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP) de l’ONU, signĂ© et ratifiĂ© par Madagascar le 21 juin 1971: l’exercice du droit Ă  la libertĂ© d’expression et du droit Ă  l’information peut ĂȘtre soumis Ă  certaines restrictions nĂ©cessaires au respect des droits ou de la rĂ©putation d’autrui et Ă  la sauvegarde de la sĂ©curitĂ© nationale, de l’ordre public, de la santĂ© ou de la moralitĂ© publique.Ces restrictions doivent ĂȘtre clairement dĂ©finies par la loi et respecter les principes de proportionnalitĂ©, de lĂ©gitimitĂ© et de nĂ©cessitĂ©.La diffamation peut ĂȘtre dĂ©finie comme toute allĂ©gation ou imputation d’un fait qui porte une atteinte Ă  la rĂ©putation, c’est-Ă -dire Ă  l’estime dans laquelle un individu est gĂ©nĂ©ralement tenu dans une communautĂ© particuliĂšre. Les normes internationales assurent la protection de la rĂ©putation des individus, et interdisent donc la diffamation. Les dispositions des diverses conventions donnent compĂ©tences aux lĂ©gislateurs pour dĂ©finir le cadre juridique c’est-Ă -dire les infractions et les peines relatives Ă  la diffamation.

Et Hanitra Razafimanantsoa semble aussi avoir complĂštement oubliĂ© les articles 372, 373 et 374 du Code pĂ©nal. Ils dĂ©finissent la notion de diffamation ainsi que les procĂ©dures et les sanctions applicables. Pour le moment, elle se croit intouchable, invulnĂ©rable. Eternelle quoi ! Elle a intĂ©rĂȘt Ă  relire l’EcclĂ©siaste 3 alors. Car, mes chers amis lecteurs, l'ecclĂ©siaste nous dit que tout ce qui existe sous le soleil a un commencement et une fin. Mais sera-t-elle heureuse pour cette Hanitra Lobo qui use et abuse de mensonges qui sont des offenses Ă  la vĂ©ritĂ© et des pĂȘchers mortels. A croire que ce dĂ©putĂ© stĂ©rile ne croit qu’en son dieu Marc l’éternel perdant depuis plus d’une dĂ©cennie.

Enfin, pour rappel, ce que je relate ci-aprĂšs s’est passĂ© Ă  l’aĂ©roport d’Ivato, le samedi 19 fĂ©vrier 2011. (
) Une autre personne vient de se faire des ennemis pour rien : Me Hanitra Razafimanantsoa qui a pris les journalistes malgaches, sauf un, pour des canards boiteux. En effet, comme elle venait d’Afrique du Sud, par le vol qui a eu un retard de 30 minutes et sans Dada Ravalomanana, les journalistes sont allĂ©s au-devant d'elle, comme c’est d’usage, pour l’interviewer. Sa rĂ©action a Ă©tĂ© tout simplement imbĂ©cile. D’un air dĂ©daigneux, elle a toisĂ© tous les confrĂšres pour faire entrer dans son auto une journaliste caucasienne (de race blanche car j'ignore sa nationalitĂ©) et un seul Malgache travaillant, il va sans dire, pour encenser celui qui entretient son quotidien. VoilĂ  un trĂšs mauvais rĂ©flexe de la part de Me Hanitra. Se mettre un journaliste Ă  dos, c’est dĂ©jĂ  pas bien, mais se mettre Ă  dos la majoritĂ© des journalistes malgaches prĂ©sents, c’était purement et simplement de l’ostracisme. Mais oĂč comptait-elle donc aller avec ce genre de rĂ©flexe indigne d’un magistrat ? Elle a foulĂ© au pied le droit de l’individu Ă  ĂȘtre informĂ©. En plus, que trouvait-elle de diffĂ©rent entre les nombreux journalistes malgaches et SA journaliste « vazaha » ?

Didier Ratsiraka avait fait la mĂȘme erreur peu avant sa seconde chute en 2002. Cela ne lui a servi Ă  rien. Comme il s’agissait d’une vĂ©ritable dĂ©claration de guerre, elle n’aura qu’à s’en prendre Ă  elle-mĂȘme si tous ses faits et gestes, seront, au contraire, dĂ©cortiquĂ©s. Car tous ont eu la mĂȘme rĂ©action : « mais pour qui se prend-elle ? Pour la reine d’Angleterre ? Combien de milliards est-elle payĂ©e par Ravalomanana ? » DĂ©jĂ , elle n’a aucun sens de la communication, dans le sens d’expliquer, expliquer, expliquer. Et qu’est-ce que cette journaliste « vazaha » peut donner de plus en matiĂšre d’information, que n’ont pas les « mpanao gazety malagasy » ? Pauvre femme dĂ©jĂ  sous la coupe de la «mouvance Ravalomanana», Ă  peine avoir mis le pied Ă  Madagascar. Quant au comportement imbĂ©cile de Me Hanitra Razafimanantsoa, il a indiquĂ© qu’elle est littĂ©ralement sous la coupe intellectuelle de son
 maĂźtre. La corporation malgache du mĂ©tier de journaliste pourra lui pardonner, mais elle n’oubliera pas le dĂ©dain que cette bonne femme a sĂ»rement appris de son « Dada »  Ce qui nous ramĂšne Ă  mon titre de ce jour. On se donne rendez-vous dans 10 ans ?

Jeannot Ramambazafy – Egalement publiĂ© dans « La Gazette de la Grande Ăźle » du mercredi 20 janvier 2021

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Mis Ă  jour ( Mercredi, 20 Janvier 2021 18:24 )  
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