Mahazoarivo : les journalistes de la Capitale, invités par le Premier ministre Omer Beriziky

Au premier plan: à g., Lambo Tahiri et Rocco Rasoanaivo...

Certains esprits très mal pensants, vont encore aller raconter que ces journalistes de la presse publique et privéé de la Capitale ont été « achetés » par le Premier ministre Omer Beriziky. Surtout ceux qui, à 10.000 km, rapportent tous les ragots qu’ils résument en trois lignes sous forme de « fil d’info ». Madagate.com, journal en ligne créé en février 2001, c’est-à-dire il y a 11 ans, ne versera jamais dans ce genre de « journalisme ». Certes, il faut vivre avec son temps. On suivra, technologiquement parlant, mais concernant la crédibilité, on préfère rester dans les réalités vraies et non courir après un quelconque audimat ou faire grimper le nombre des visiteurs en servant de la littérature éphémère et complètement pourrie, qui n’amusent que les gens sans présent ni avenir.

A l’heure où, à Madagascar tout particulièrement, la liberté d’expression et de presse se traduit par la liberté de diffuser les pires conneries qui passent par la tête de celles et ceux qui ne feront jamais rien pour leur soi-disant pays « d’origine », il importe, pour les générations futures, de retenir les réalités qui prévalent à notre époque actuelle. Rien ne vaut les photos et les vidéos.

Ainsi, ce matin du jeudi 24 mai 2012, la Primature a mis les petits plats dans les grands, spécialement pour journalistes de la Capitale, surtout ceux de l’actuelle génération. Ma parole, une telle ambiance, je ne l’ai vécu que du temps du Premier ministre, feu Francisque Ravony (de 1993 à 1995). Et çà remonte bien loin, or personne n'a de photos… Certains de ces jeunes journalistes étaient encore à l’école primaire.

Logo de ce groupuscule créé après la fuite de Ravalomanana, et qui pense que le tribunal de l'Histoire est fait pour les chiens. Ce ne sont rien que des sales couards profiteurs qui on déjà renié leurs origines malgaches au profit de la "Reny Malala" (Marianne). Ils salissent la dignité des autres Malgaches de l'île de La Réunion qui ne méritent vraiment pas çà. Et çà se dit intelligents, lettrés ("avara-pianarana"). Tsss, ce ne sont que des esprits rétrogrades. Je préfère de loin mes compatriotes de l'Androy et de l'Ankarana, plus perspicaces et vivant à longueur d'année sur la Terre-de-nos-Ancêtres communs

Ne pouvant être plus blancs que les Blancs, ces délavés, qui ont voté pour LEUR président socialiste souhaitent, sûrement faire de Madagascar le département 975 ? Ils sont plus que colonisés: ils sont assimilés, nationalisés, effacés de la culture malgache. Leurs enfants ne parlent plus le Malgache. Leurs ancêtres sont toujours les Gaulois. Mais ils n'existaient pas avant Ravalomanana alors, ces "Français" par intérêts ? Lorsqu'on aime vraiment sa Terre-des-Ancêtres ("Tanindrazana"), on évite d'abord de la dénigrer par haine purement épidermique d'un jeune homme qui a réussi à faire fuir un voleur, expert en accaparement des richesses nationales. La démarche du Dr Andriantavy et compagnie émane de l'auto-ostracisme

Revenons à nos moutons. De quoi il était question, ce matin avec M. Beriziky ? Ben, comme chaque journal à sa ligne éditoriale, vous lirez les articles et l’angle traité par tout un chacun, sur ce petit déjeuner à la Primature, dans les journaux en date du vendredi 25 mai 2012. Ainsi, ces "vazaha taratasy" du Gtt de la Réunion, verront bien si, comme dans leur lettre ouverte -un plat abracadabrant maintes fois réchauffé depuis 209- au Président François Hollande, en date du 23 mai 2012, "la presse est muselée". Bravo, en tout cas, à ces "Malgaches" de nom ou d'origine qui n'échangeront leur nationalité française pour rien au monde. Ils insultent leurs propres aïeux et escamotent les racines culturelles de leurs descendants, au seul nom de Marc Ravalomanana. Par rapport à eux, on est donc encore des sauvages sans savoir-vivre dans la Grande île.

CLIQUEZ ICI POUR LA VIDEO DES DECLARATIONS DU PREMIER MINISTRE JEAN OMER BERIZIKY, A PROPOS DES ELECTIONS ET DES GREVES

Mais, ci-dessus, une vidéo traitant des élections, c’est-à-dire la position du Premier ministre Beriziky. A présent, place aux photos. Il n’y aura aucune légende, sauf (c’est l’exception confirmant toute règle) que Rocco Rasoanaivo -photo d'accueil- était bel et bien là. Ainsi que notre Eugène Rajaofera national. Bravo ! Rocco a compris, à temps, que le rôle du journaliste et de collecter des informations et de les diffuser et non pas de jouer les apprentis leaders d’opposition. Dans la vie, nous avons tous un choix et ce n’est pas un péché que de faire marche arrière lorsque l’on sait et que l’on sent que la démarche dans laquelle on s’est engagé, est purement suicidaire (sur tous les plans) et n’émane que d’une pure vengeance personnelle. A vos yeux !