17 février 2010. C’est un véritable marathon que la fondatrice de l’association « Fitia », et non moins Première Dame de l’Etat, Mialy Rajoelina, a effectué dans trois Collèges d’Enseignement Général (CEG) de la Capitale malgache. Des établissements situés dans des quartiers peuplés et défavorisés depuis longtemps. Il s’agit du CEG d’Avaradrova, en contre-bas du Palais de la Reine ; du CEG d’Anosibe, quartier très populeux vers la RN1 ; du CEG d’Ambohimanarina, très populeux également vers la RN4.
CEG Avaradrova
Fidèle à la devise, de l’association qu’elle préside - « Ny Soa atao ilevenam-bola »-, Mialy Rajoelina, après avoir commencé par le CEG d’Ampefiloha puis ceux de Nanisana et d’Avaradoha. Ces milliers d’élèves seront les adultes de demain à Madagascar. Tout, sur cette bonne vielle terre, peut amener à la perdition, sauf les études. Contrairement aux mauvaises langues, celle qui ne font jamais rien de leur propre vie et qui passe leur temps à critiquer par jalousie à l’état pur, ce n’est pas parce que Mialy Rajoelina est devenue Première Dame qu’elle s’est trouvé un « hobby ». Les œuvres sociales, elle les pratique depuis sa jeunesse. Mais, actuellement, c’est plus voyant car elle occupe un haut rang au sein de la Nation.
CEG Anosibe
Afin de donner plus d’ampleur à ses actions, elle a donc décidé de créer l’association « Fitia ». Certes, il y a beaucoup de femmes membres, mais toute personne de bonne volonté sera accueillie à bras ouverts. Nul ne peut éradiquer la misère d’un coup de baguette magique. Aussi, avec son sourire qui est déjà en lui-même un rayon de soleil irradiant, Mialy Rajoelina apporte des fournitures scolaires, un méga-déjeuner et une éducation d’hygiène dentaire suivie de soins gratuits et d'une distribution de brosses à dents et de pâte dentifrice. Par ailleurs, les quatre meilleurs élèves de ces CEG ont reçu des prix spéciaux.
CEG Ambohimanarina
L'association « Fitia » a été créée au début de cette année pour réaliser des œuvres sociales, par ailleurs déjà pratiquées depuis longtemps par Mialy Rajoelina. En voyant tous ces enfants en tabliers bleus, comment, Seigneur, des créatures malfaisantes ont-elles pu rapporter au Parlement Européen (dont certains membres ont tout gobé sans sérieuses vérifications ni enquêtes) qu’il existe des enfants soldats à Madagascar ? Je crois en la justice immanente. Une fois découverts, ces suppôts de Satan -certainement des Malgaches- ne l’emporteront jamais au paradis.
Jeannot RAMAMBAZAFY