Je ne vous prĂ©sente plus Fanirisoa Ernaivo, cette femme logorrhĂ©ique et bipolaire qui, Ă partir dâune France qui adore diviser pour mieux rĂ©gner -comme au temps bĂ©ni des colonies-, ne cesse dâinsulter toutes les personnes quâelle a dans son collimateur. A ce rythme, elle finira bien par lâavoir cette nationalitĂ© française, avant le dĂ©part dĂ©finitif du pouvoir dâEmmanuel Macron, avec une mĂ©daille du mĂ©rite en prime. Mais quel mĂ©rite ?
Aujourdâhui, je vais vous parler dâactivitĂ©s de cette championne des insultes de haut niveau, masquĂ©es (les activitĂ©s et non pas les insultes), sans doute, derriĂšre son association dĂ©nommĂ©e Association pour le Droit et le dĂ©veloppement de Madagascar ou ADM. Jâen avais dĂ©jĂ touchĂ© un mot dans un prĂ©cĂ©dent article mais, je vais dĂ©velopper un peu. Ainsi, aprĂšs des recherches approfondies, jâai trouvĂ© quâil sâagit dâune entitĂ© ayant le statut dâAction sociale sans hĂ©bergement n.c.a. code APE-NAF 8899B. Selon la nomenclature dâactivitĂ©s française (et non malagasy), ce statut permet, entre autres, « la collecte de fonds ou d'autres activitĂ©s apparentĂ©es relevant des Ćuvres sociales et concerne essentiellement des chargĂ©(e)s d'accueil social ». Au risque de me rĂ©pĂ©ter, je rappelle, ici, que le chargĂ© ou la chargĂ©e social(e) «reçoit le public, accompagne la premiĂšre demande au plan administratif, oriente si besoin vers les services sociaux ou les professionnels concernĂ©s». Dans ce mĂ©tier, car çâen est un, « la prĂ©sentation soignĂ©e, le sourire permanent et la rĂ©sistance au stress sont les clĂ©s pour rĂ©ussir dans cette activitĂ© oĂč l'apparence est essentielle ».
Puis, jâai orientĂ© mes recherches vers un autre mĂ©tier, çâen est un aussi, assez similaire, celui « dâescort girl ». La dĂ©finition ? « Une escort girl est une fille travaillant pour une agence ou en indĂ©pendant. Son rĂŽle varie gĂ©nĂ©ralement en fonction des besoins de son client : accompagnante dâun soir, semblant petite amie, compagne dâun dĂźner arrosĂ©, etc. Effectivement, le cadre de travail dâune escort girl nâest pas trĂšs prĂ©cis ». (webmx de JĂ©rĂŽme Mourlon). Il est prĂ©cisĂ©, cependant, que les filles qui font ce genre de travail sont belles et raffinĂ©es. Elles doivent constamment faire preuve dâintelligence, vu quâelles visent principalement une clientĂšle luxueuse. Sont-elles, dĂšs lors, des prostituĂ©es, vu quâen France, elles payent des impĂŽts, bĂ©nĂ©ficient de la SĂ©curitĂ© sociale et obtiennent une rĂ©munĂ©ration pouvant aller jusquâĂ 450 euros de lâheure ?
RĂ©ponse de JĂ©rome Tourlon, toujours : « Tout dâabord, il faut noter que lâescort girl ne va jamais racoler sur le trottoir. Si les prostituĂ©es proposent uniquement leur corps, les escort girl, elles, entrent dans la peau de la petite amie de la personne qui la paye. De plus, beaucoup dâentre eux nâen veulent pas uniquement Ă leur corps ; ils sont Ă©galement prĂȘts Ă payer trĂšs cher pour obtenir lâaffection de leurs compagnes ». A voir la photo oĂč Fanirisoa pose avec trois femmes ayant chacune une flĂ»te de champagne Ă la main, la question se pose : serait-ce des « Malagasy Escort Girls » ? Et puis, on a lâimpression que ce clichĂ© est une invite. Non ?
Pour en revenir Ă lâassociation ADM qui, je le prĂ©cise, est lâacronyme dâAssociation pour le Droit et le dĂ©veloppement de Madagascar, personne nâen a entendu parler dans la Grande Ăźle de lâocĂ©an Indien, un si pauvre pays... Que Diable Fanirisoa Ernaivo et ses « chargĂ©es dâaccueil » font-elles exactement au 13, avenue Carnot Ă Gray, commune de l'Est de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Haute-SaĂŽne, en rĂ©gion Bourgogne-Franche-ComtĂ©Â ? Il faudrait certainement demander au bon docteur Jean Narcisse Randrianainarivo, nĂ© Ă Fianarantsoa, gĂ©riatre  au Centre hospitalier de Gray. Selon Fanirisoa Ernaivo, la maison situĂ©e au 13, avenue Carnot Ă Gray lui appartient. Je diffame ? Pour le moment, nous voyons tous quatre femmes et non dix femmes sur la photo. Cela viendra peut-ĂȘtre ?... Mais sachez que dans la langue française, tout nâest jamais que jeu de mots, avant que ne sâabattent les maux. Il faut ĂȘtre trĂšs fortiche en vocabulaire.
Jeannot Ramambazafy