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Madagascar : Eugène Rajaofera ou le syndrome du quatrième pouvoir

En août 2009, j’avais déjà rédigé un dossier à propos de la désinformation. Lire en cliquant la photo ci-dessous.

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En ce début du mois de juillet 2010, cette désinformation continue à faire son œuvre de plus belle, avec un nom cité directement : Eugène Rajaofera (qui n’a aucun lien de parenté avec Marthe Rajaofera Andriambelo). Quelle est la réelle intention de ce « journaliste » qui a débuté au quotidien Madagascar Tribune, sans aucune formation dans le monde de la Communication en général ?

Eugène était un étudiant en économie de l’université d’Ankatso. Pour mieux vivre cette vie au campus, il présente sa candidature chez Rahaga Ramaholimiaso, alors grand manitou de Tribune. Il intègre l’équipe dans la rubrique économique. Petit à petit, qui sait pourquoi, il verse dans des articles à caractère politique… A partir de là, il croit dur comme fer qu’il fait partie de ce fameux quatrième pouvoir que la presse constitue. Mais uniquement dans les pays anglo-saxons et les USA. Car dans des pays comme Madagascar, les politiciens achètent purement et simplement les journalistes sous-payés qui le crient sur tous les toits. Lorsque Tribune se divise en deux (un journal en ligne puis un journal papier, après 20 d’existence !), Eugène Rajaofera intègre Midi Madagasikara dont le grand manitou est Mamy Rakotoarivelo, le dernier Tim des Tim de Marc Ravalomanana. Là, est-il payé plus que les autres journalistes ? J’en doute, mais il poursuit alors son combat de membre du « quatrième pouvoir ». Ce qui est comico-tragique c’est que, dès lors, Midi devient un journal bourré de paradoxes. Des journalistes respectueux et chevronnés comme Zo Rakotoseheno et Stéphane Jacob n’entreront jamais dans le jeu de la dévotion aveugle. Question : est-ce la fameuse liberté d’expression et de presse qui les empêche de faire entendre raison à Eugène Rajaofera pour ce qui est de l’éthique et de la déontologie journalistique ? Mais, d’un autre côté, Zo et Stéphane, des journalistes depuis des décennies, peuvent-ils contredire Mamy Rakotoarivelo qui est, en prime, le beau-fils de Marthe Rajaofera Andriambelo, fondatrice de Midi Madagasikara ?

Eugène Rajaofera, en route pour Pretoria, fin avril 2010

Quoi qu’il en soit, les derniers écrits d’Eugène Rajaofera, après tant d'autres intox, ont été les gouttes d’eau qui ont fait déborder le vase. Le plus ridicule est que c’est ce même Eugène qui répand qu’il n’y a pas de liberté de presse à Madagascar. Imbécillité reprise par les GTT de France et de Navarre. Eugène Rajaofera ira-t-il en prison ? Logiquement, à défaut de code de la communication, il peut être poursuivi pour diffusion de fausses informations, selon le code de procédure pénale. Mais c’est ce à quoi s’attendent, voire espèrent les ravalomananistes jusqu’à Mamy Rakotoarivelo. La crise terminée, car il y a une fin à tout, que deviendra alors Eugène Rajaofera ? Car il sera hors de question pour lui de dire, comme certains politiciens : « j’ai obéi aux ordres ». Personne ne l’oblige à ternir la profession par des articles totalement erronés mis à la Une de Midi. En fait, ce n’est pas le retour de Ravalomanana qui le motive mais de faire comprendre qu’il est un grand journaliste faiseur d’opinion. Toutefois, les recoupements et la clause de conscience ne sont pas faits pour les chiens. Aussi, c’est sciemment qu’il induit les lecteurs en erreur avec des histoires à dormir debout. Le tribunal de l’Histoire ne le ratera pas. Il y a un antécédent avec Noël Razafilahy (Radio Tsioka Vao pro-Ratsirakiste) qui n'a été repris nulle part. Déjà, divers confrères qui n’ont pas forcément la même ligne éditoriale, ont jugé Eugène Rajaofera dont les ambitions sont complexes. Voici leurs écrits qui serviront de preuves le moment venu.

A LA UNE DE MIDI MADAGASIRAKA DU 3 juillet 2010

Toliara : La route de l'aéroport barricadée

 

 

 

Samedi, 03 Juillet 2010

« Mialà Andry Rajoelina. Tsy mila anao i Toliara. » (Andry Rajoelina, démissionnez! Toliara n'a pas besoin de vous) C'est ce qu'on a lu sur les banderoles brandies hier à Toliara par des gens mécontents qui se sont positionnés sur la route vers l'aéroport, plus précisément au niveau du quartier de Sans Fil. En fait, ces individus mécontents, composés majoritairement de jeunes, se préparaient à accueillir avec leurs banderoles le président de la HAT, Andry Rajoelina, prévu débarquer hier matin dans la Cité du Soleil pour inaugurer le nouveau bâtiment du projet PACP du ministère de la Pêche et des Ressources Halieutiques. Faute de Andry Rajoelina, qui aurait annulé au dernier moment ses déplacements à Toliara, ces jeunes s'en sont pris au cortège du Premier ministre, Camille Vital, qui rejoignait le centre ville en provenance de l'aéroport. Le cortège du Premier ministre de la HAT a été sifflé et hué. Des jeunes filles ont même jeté des sandales sur le cortège officiel. Les jeunes mécontents ont barricadé la route de l'aéroport après le passage du cortège.

Boycott. Après ces démonstrations de force qui ont dérangé la délégation du pouvoir central et les autorités locales, on a procédé hier, toujours dans la matinée, à l'inauguration du nouveau bâtiment du projet PACP, sis à Mahavatse II. Placée sous l'égide du Premier ministre de la HAT, Camille Vital, originaire de Toliara, ladite inauguration a été boudée par le public. Toliara n'a pas fait de cette inauguration un événement. On a l'impression d'après ce qu'a raconté un témoin, que les Tuléarois sont actuellement indifférents aux événements organisés par les autorités, et ce, depuis que le torchon brûle à la mairie. A ce sujet, la population de Toliara, appuyée par les membres du Conseil municipal, a de nouveau essayé avant-hier de réinstaller le maire élu de Toliara, le Dr Fiacre Hatimo. Pour ces partisans du maire, c'est le « Vahoaka » qui a élu le maire et non les délégués du personnel de la Commune de Toliara. Une réplique à l'action de ce dernier qui s'oppose à la reprise des fonctions par le maire Fiacre Hatimo.

Tournée régionale. Ayant annulé ses déplacements hier dans le chef-lieu de la région Atsimo Andrefana, le président de la HAT, Andry Rajoelina, a raté sa première tournée régionale. Outre le rendez-vous de Toliara, le locataire d'Ambohitsorohitra a été attendu hier au CAPSAT (Soanierana) pour une sortie de promotion, mais il a annulé, au dernier moment, sa présence. En tout cas, le président Andry Rajoelina projette d’'effectuer bientôt une tournée régionale. Cette tournée intrigue bon nombre d'observateurs dans la mesure où Andry Rajoelina a déjà déclaré qu'il ne se présentera pas aux prochaines présidentielles. Avant-hier, le locataire d'Ambohitsorohitra a fait un clin d'oeil à l'église anglicane en promettant la prise en charge par l'Etat de la réhabilitation du temple incendié d'Anatihazo. Ces gestes du président de la HAT donnent l'impression qu'il ne tiendrait pas sa parole comme il n'a pas respecté sa signature dans les accords de sortie de crise.

Recueillis par RAJAOFERA Eugène

DROIT DE REPONSE PARU DANS MIDI DU 5 JUILLET 2010

Droit de réponse : Aucune mission présidentielle officiellement prévue ni à Toliara ni à Soanierana

 

 

 

Lundi, 05 Juillet 2010

Dans son édition n° 8176 du 03 juillet 2010, le Quotidien Midi Madagasikara a fait publier, par le truchement de son journaliste dénommé Eugène Rajaofera, un article intitulé « Toliara: La route de l'aéroport barricadée » (page 2). Quotidien qui n'a pas manqué de publier ledit article en Ouverture. Un article qui a évoqué, entre autres, un «  (...) Andry Rajoelina, prévu débarquer hier matin dans la Cité du Soleil pour inaugurer le nouveau bâtiment du projet PACP du ministre de la Pêche et des Ressources Halieutiques ». Tout comme l'article en question a indiqué que, « Ayant annulé ses déplacements hier dans le chef-lieu de la région Atsimo Andrefana, le président de la HAT, Andry Rajoelina Andry, a raté sa première tournée régionale. Outre le rendez-vous de Toliara, le locataire d'Ambohitsorohitra a été attendu hier au CAPSAT (Soanierana), mais il a annulé sa présence ».

A aucun moment, la Présidence de la République de la Haute Autorité de la Transition, et encore moins sa Direction de la Communication, n'ont point informé au préalable la presse nationale d'un quelconque projet de mission du président Andry Nirina Rajoelina devant être menée à Toliara et à Soanierana. De facto, une mission présidentielle, fruit de la pure imagination du journaliste dont il s'agit, n'est logiquement pas ainsi à annuler, comme ce dernier le prétend à tort. En tout cas, alléguer que «  (...) le président de la HAT, Andry Rajoelina,, a raté sa première tournée régionale (...) » ou encore «  (...) mais il a annulé, au dernier moment, sa présence » relève d'une mauvaise foi, manifeste et incontestable, de l'auteur dudit article. Quoi qu'il en soit, aux termes de l'article 78 et suivants de la Loi n°90-031 du 21 décembre 1990 sur la Communication, outre le fait d'avoir proféré ainsi de l'outrage et de l'offense à la première Institution de la République, Midi Madagasikara et son journaliste sus nommé ont également perpétré, sans souffrir de la moindre discussion, de la propagation de fausses nouvelles. Bien évidemment, son Directeur de Publication ne peut également pas se dérober à ses responsabilités pénales, tirées de cet article.

Point n'est besoin de rappeler que, à plusieurs reprises, Midi Madagasikara, et plus particulièrement son journaliste sus nommé, n'ont cessé de publier des assertions fausses et mensongères. Quotidien qui n'est pourtant pas sans savoir que de telles pratiques constituent des infractions pénales, prévues et réprimées par la loi dont il s'agit (article 99 et suivants). Et que celles-ci relèvent, sans conteste, du pur délit de presse, sans que quiconque ne puisse crier à une quelconque entrave à la liberté de presse, dans le cas où des poursuites judiciaires sont ouvertes pour sanctionner leurs auteurs. Par ailleurs, tous les responsables et journalistes de Midi Madagasikara savent pertinemment que recouper leurs informations, avant toute publication, constitue l'élémentaire du métier. Et que, par voie de conséquences, ignorer une telle étape établit le bien fondé de la mauvaise foi des auteurs des articles incriminés, comme c'est le cas dans la présente publication. Quoi qu'il en soit, tant les responsables de Midi Madagasikara, et encore moins le journaliste sus cité, ne peuvent évoquer avoir eu, à aucun moment, les portes de la Présidence de la Haute Autorité de la Transition, et celles de sa Direction de la Communication, fermées, à leur endroit, pour leur permettre de procéder à cet élémentaire du métier. Etant entendu que pas une seule fois, ils n'ont daigné agir de la sorte pour confirmer ou infirmer la véracité de leurs informations. Ce qui équivaut à dire que, de leur propre chef, ils se sont mis, de mauvaise foi, en travers de la Loi sus référenciée. En tout cas, il est réitéré ici que lesdites portes restent grandement ouvertes, et en permanence, à tous les gens de la profession dignes de ce nom.

Antananarivo, le 03 juillet 2010

 

LA GAZETTE DE LA GRANDE ILE DU 5 JUILLET 2010

Tension à Toliara : flagrante désinformation !

Lundi, 05 Juillet 2010 07:41

Le quotidien « Midi Madagasikara » a publié samedi dernier à la Une que la route de l’aéroport est barricadée et des banderoles réclamant la démission d’ Andry Rajoelina y ont été brandies la veille. Et que le cortège du Premier ministre Camille Vital a été sifflé et hué à son arrivée dans la capitale du Sud-Ouest.

Ce qui ne fut pas du tout le cas. Pour ne pas dire qu’il y a là une flagrante désinformation tendant à perturber, voire déstabiliser l’opinion publique. Samedi dernier, le ministre de la Communication Félix Malazarivo faisant partie de la délégation gouvernementale a haussé le ton sur RNM dès Toliara, pour dénoncer cet intox.

En clair, il n’y a pas eu de banderoles lors du passage du Premier ministre dans cette localité, sauf une demandant le maintien du coordonnateur d’un projet auprès du ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques. Réplique du Premier ministre : « Je salue l’initiative et la performance du coordonnateur, mais je pense qu’après plus de quatre années à Toliara, en sa qualité de bon fonctionnaire, il pourra faire mieux dans d’autres régions ». Et selon nos informations, il n’y a eu ni contestation, ni grogne. Pour dire que Camille Vital jouit d’une certaine popularité dans le Sud, malgré toutes les critiques contre lui.

En tout cas, ce n’est pas pour la première fois que « Midi » contre l’actuel Premier ministre de la Transition.

Curieusement, le gouvernement de la Transition engraisse tous les jours, à travers des publicités des différents ministères. Pourtant, ce journal donne l’impression d’alerter l’opinion internationale comme quoi la liberté de la presse n’existe pas à Madagascar.

LA VERITE

Presse et actualités nationales - Allégations mensongères et outrageantes !

 

 

 

Écrit par R. A. Maxime

Lundi, 05 Juillet 2010

« La presse nationale est malade ! ». Ce constat émane de certains observateurs de la vie de la Nation, eu égard aux dérives et autres infractions de droit commun perpétrées par certains journalistes. Néanmoins, il ne faut pas généraliser ce genre d’incriminations, dans la mesure où certains médias ne cessent de faire montre de professionnalisme dans leurs prestations. Toutefois, quand c’est une certaine haine qui anime certains confrères, le mal est inévitable : une catégorie de médias est devenue un support médiatique pour aligner des allégations outrageantes et propager de fausses nouvelles.

« Contrairement à ce qui a été affiché en Une de Midi Madagasikara, aucune barricade n’a été érigée sur la route de l’aéroport, et il  n’y a eu aucun jet de sandales sur le Premier ministre Vital ». Félix Malazarivo, ministre de la Communication, est monté au créneau, hier au journal de midi de la Télévision nationale, pour rétablir la vérité sur les circonstances qui ont entouré la tournée menée, vendredi dernier, par le Chef du Gouvernement et quelques ministres dans la ville de Toliara. En effet, Midi Madagasikara a insinué, en gros titre de sa Une, cette « route de l’aéroport barricadée » et ces « jets de sandales contre Camille Vital à Toliara » que le ministre de la Communication a qualifiés hier de « mensongers et pouvant perturber l’ordre public ». Une intervention ministérielle qui a tiré son bien - fondé du fait que, effectivement, aligner en public ce genre d’infamies pourrait amener des partisans de l’actuel Chef du Gouvernement à énergiquement réagir. Avec ce que cela pourrait supposer de heurts physiques, entre eux et des habitants de la Capitale du Soleil, qui pourraient en découler.

Aiguiser le mensonge…

En tout cas, Midi Madagasikara ne s’est pas cantonné à aiguiser, comme tel, le mensonge. En effet, dans sa même édition de samedi dernier et le long de son article incriminé, ce Quotidien, plus précisément son journaliste répondant au nom de Eugène Rajaofera, a également « révélé » que le Président Rajoelina aurait  « annulé ses déplacements hier (Ndlr, vendredi dernier) dans le chef – lieu de la région Atsimo Atsinanana » et que, de ce fait, « le président de la Hat, Andry Rajoelina, a raté sa première tournée régionale ». D’autres allégations mensongères, dans la mesure où, interrogée, la Direction de la Communication à la Présidence de la Haute autorité de la Transition a été formelle et catégorique hier pour établir que, « à aucun moment, il n’a été programmé une quelconque visite à Toliara du Chef de l’Etat pour ce vendredi - là ».

« D’ailleurs, toute activité présidentielle n’a cessé de faire l’objet de communications officielles régulières », a – t – on précisé. Quoi qu’il en soit, la même Direction de la Communication au Palais d’Etat Ambohitsorohitra a indiqué hier que « Midi Madagasikara  a outrageusement ignoré la démarche élémentaire qui, dans le métier, enjoint tout journaliste à recouper ses informations avant de les publier ». « Pourtant, il a suffi à l’auteur de ces écrits de saisir cette Direction de la Communication pour avoir la confirmation ou l’infirmation de l’information qu’il a reçue, avant de la publier », a – t – on continué.

Phase fatale de la gangrène

Quoi qu’il en soit, ce genre de bévues monumentales semble conforter le constat amer, fait par certains observateurs de la vie de la Nation et selon lequel « la presse nationale est malade ! ». Effectivement, quand même l’élémentaire du métier est volontairement ignoré, ceci établit, sans conteste, que, quelque part dans la profession, la gangrène a atteint sa phase fatale.

Pis, quand cette mauvaise foi flagrante est enrobée de haine viscérale, l’irréparable est, de facto, inévitable. En effet, le confrère sus nommé, toujours dans son article, a aligné que « le président Andry Rajoelina projette d’effectuer bientôt une tournée régionale. Cette tournée intrigue bon nombre d’observateurs dans la mesure où Andry Rajoelina a déjà déclaré qu’il ne se présentera pas aux prochaines présidentielles » et que « (…) ces gestes du président de la Hat donnent l’impression qu’il ne tiendrait pas sa parole

(…) ». « Une déduction hâtive, hasardeuse et honteuse pour la presse nationale, eu égard au fait que, partout dans le monde, tout Chef d’Etat, en tournée dans les régions de son pays, n’a pas agi à des fins bassement électorales mais pour être au chevet de son Peuple. Et le Président de la Haute autorité de la Transition a déjà déclaré, lors du dernier Conseil des ministres, qu’il entreprendra incessamment des tournées dans les Régions pour justement être au chevet du Peuple malagasy. Une déclaration présidentielle qui a d’ailleurs déjà fait l’objet d’un communiqué officiel envoyé à tous les organes de presse de la Capitale », a – t – on avancé hier du côté de cette Direction de la Communication.

En tout cas, ce genre d’ignominies journalistiques semble conforter la position de la majorité des journalistes nationaux qui rechignent à manifester une quelconque solidarité à l’endroit de certains de leurs confrères qui, ayant fait fi même de l’élémentaire du métier, ont fini par être jetés en prison. Quoi qu’il en soit, l’heure semble actuellement sonner pour, une bonne fois pour toutes, mettre un holà définitif à ces dérives abjectes - perpétrées par certains confrères - qui, faut – il le marteler, font incontestablement la honte de la profession toute entière. D’autant plus que les médias, qui n’ont cessé de faire montre de professionnalisme dans leurs prestations, ne voudraient aucunement être mis dans le même sac où s’étranglent ces brebis galeuses de la profession.

Recueillis par R. A. Maxime

 

Dossier de Jeannot RAMAMBAZAFY – 5 juillet 2010
Mis à jour ( Mardi, 06 Juillet 2010 07:46 )  
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