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Madagascar: une histoire divinement intéressée

Palais d'Etat d'Iavoloha, 20 octobre 2014. Rencontre entre le Président Hery Rajaonariampianina et les Partenaires techniques et financiers

Avant de me décider à vous narrer la tragédie rajaonarimampienne, à travers un suivi du parcours de Voahangy X de Mad Délice -appartenant à Razanamahery Zoe- [une Voahangy qui semble avoir vu le jour dans un chou, sans parents, sans nom de jeune fille, bref sans passé et tout le monde trouve çà normal, comme s’il y avait quelque sorcellerie quelque part… Car une personne sans passé, sans « histoire » à raconter à ses enfants, n’aura jamais d’avenir], voici l’histoire de Madagascar qui démontre que son développement se fera selon la volonté divinement intéressée de la Communauté internationale… A moins que.


Dans la Bible, il est écrit que Dieu, qui a créé l'homme, donne et reprend. Cela résume le passage terrestre de tout être vivant. Ainsi, le moment de votre naissance marque le début du compte à rebours vers votre décès. Personne ne peut y échapper, et personne ne sait quand ni comment il va mourir. Durant ce laps de temps, cependant, la race humaine subsiste à travers un héritage culturel légué à ceux qui la remplacera de générations en générations, selon le continent où on vit. Il en est ainsi depuis Adam et Eve. L’Humanité a traversé diverses époques pénibles et a toujours survécu, même si cela continue. Il n’y aura plus de déluge : votre fin du monde viendra le jour de votre mort. Nous sommes tous venus au monde nus, sans rien, et nous le quitterons de la même manière. Sans exception. Songez à toutes celles et tous ceux qui nous ont précédés depuis votre naissance.

Mais l’homme, à mesure qu’il s’est « civilisé », est devenu de plus en plus cupide, de plus en plus matérialiste. Si bien qu’il a été, est et sera le propre artisan de toutes les tragédies passées, présentes et à venir. De l’âge de la pierre jusqu’en ce troisième millénaire des Nouvelles technologies de l’information sans cesse en innovation débordante, l’homme, cet éternel impénitent, a toujours voulu se prendre pour Dieu, le Père, le Fils et le Saint-Esprit. C’est-à-dire se sentir au-dessus du commun des mortels, différent par des biens terrestres.


De nos jours, cela se traduit par des signes extérieurs de richesses souvent, sinon toujours mal acquises. Ceux qui ont amassé une fortune à force de travail sont plutôt discrets car ils connaissent la vraie valeur de l’argent. Dans des pays comme Madagascar, comment devient-on très rapidement riche ? Certes, il existe encore quelques familles dont le nom est respectable et respecté mais, en général, on se rue vers le domaine politique sans en acquérir les ficelles, sans en maîtrise les arcanes, les subtilités (diplomatiques). Mais dans les esprits obtus de certains Malgaches, dont le nombre va crescendo, le pouvoir amène la richesse et quand on est riche, on peut tout se permettre. Et c’est malheureusement cette logique imbécile qui a encore abouti à la situation actuelle précaire, instable dans tous les domaines. Ne vous fiez pas aux déclarations de la Communauté internationale. Vous comprendrez plus loin. Ce qui est certain c’est que l’avenir des Malgaches n’est toujours pas entre leurs mains.


A mon sens, la logique du développement se résume comme ceci : avant je me déplaçais à pieds, puis en bicyclette, puis en vélo Solex, puis en scooter, puis en Citroën 2CV, puis en Renault 4L, puis en Peugeot 504, puis en Mercedes enfin, aujourd’hui, je roule en 4X4 (ce sont des images car, personnellement, je n'ai pas d'auto et je me déplace à pieds, en autobus ou en taxi). Cette ascension sociale rend plus humain, plus juste, plus équitable. Mais cela n’est possible qu’à travers un travail sécurisé ; une vision de gouvernance du pouvoir en place utilisant ses propres ressources et un cadre de vie propice à la production ; un pouvoir d’achat en relation avec les prix des Ppn (produits de première nécessité) qui, quoi qu’on dise, augmenteront toujours, en relation avec le marché des énergies fossiles encore mondialement utilisées. Malheureusement, à Madagascar, après le Président Philibert Tsiranana, la vie elle-même -une survie plutôt- est devenue un non-sens pour le grand nombre. Aucun dirigeant élu n’a eu une vision liée à la croissance démographique : des bouches de plus à nourrir, à loger, à vêtir. Aucun n’a mis en pratique le sacro-saint principe de redevabilité vis-à-vis de ses électeurs et de tous ses concitoyens. Pire : tous accèdent directement à un 4X4, sans passer par les étapes citées plus haut, une fois élus et/ou nommés. Du haut de leur volant, commence le clivage socio-économique. Il faut rappeler, ici, une autre certitude : qu’il y ait des catastrophes humaines (guerre, génocide…) et naturelles (tremblement de terre, incendie, inondation, tsunami), le nombre des personnes naissant sera toujours supérieur au nombre des personnes qui décèdent.

A Madagascar, avec cette logique imbécile, les Malgaches ne vivront plus ensemble mais en parallèle si ce n'est déjà fait, au bénéfice des grands groupes comme Filatex, autre troisième larron de la mauvaise gouvernance

En plus d’un demi-siècle, de pays sous-développé, Madagascar est devenu l’un des pays les plus pauvres du monde, en passant par pays en voie de développement. Cela aussi est un non-sens étant donné que la Grande île de l’océan Indien regorge de richesses naturelles et minières que l’on ne trouve nulle part ailleurs. Mais que s’est-il passé alors ? Ce n’est pas faute de programmes de développement. Du plan quinquennal de la première république au Map (Madagascar action plan) de Ravalomanana, les riches sont devenus plus riches (minoritaires) et les pauvres encore plus pauvres (majoritaires). Les aides publiques au développement -qui ne sont que des prêts pour endetter les Malgaches pour l’éternité-, n’ont rien développé du tout. Bien au contraire… Pourquoi ? A cause de la logique imbécile citée plus haut. Ajoutée à l’histoire du troisième larron. C’est, par définition, celui qui profite d'un litige entre deux parties pour en tirer avantage. Les deux parties, dans ce pays, ce sont les dirigeants et le peuple, tandis que le troisième larron, c’est la Communauté internationale et ses intérêts.

Seul le président Zafy Albert y avait pensé au début des années 1990. Mais il paraît que ce n'est pas rentable pour les... bailleurs de fonds qui doivent larguer d'abord les groupes électrogènes de sociétés copines. Donc, il faudra encore attendre que les "vazaha" implantent leurs propres usines et systèmes alors ? Et les dirigeants malgaches se font complices moyennant une "motivation financière personnelle". Dire que ce n'est ni le vent ni le soleil qui manquent dans la Grande île de l'océan Indien. Encore un non-sens et un manque total de perspectives d'avenir à long terme

Tous les dirigeants élus malgaches depuis l'après Philibert Tsiranana n’ont jamais protégé ni défendu ce qui existait depuis les ancêtres. Pire, rien ne s’est amélioré : le tissu économique local s’est détérioré au fil des décennies, mettant en danger d’extinction définitive les produits locaux rabaissés au niveau du folklore, de l’artisanat. Faut-il trouver normal qu’en plus d’un demi-siècle, la notion même de métallurgie, de sidérurgie n’existe pas dans le pays ? Qu’une usine de production industrielle, engendrant du travail pour les jeunes, n’a jamais vu le jour ? N’allez pas m’insulter en disant que ce sont les matières premières et les ressources humaines nationales qui manquent ! Comment se fait-il, qu’à part Zafy Albert -qui a pensé à une usine solaire sur le plateau de l’Horombe en 1993-, aucun dirigeant n’a su utiliser le soleil et le vent comme sources d’énergie ? En ce moment-même, on utilise et on achète encore des groupes électrogènes qui marchent au gazole. Et on espère la fin des délestages avec ces sources d’énergie qui utilisent une autre énergie ! Encore un non-sens et un manque total de perspective liée à la marche du temps.


A des moments donnés, le peuple malgache s’est levé (1972, 1991, 2002, 2002), avec un espoir de changement réel dans leur quotidien, mais à chaque fois, il est retombé sur pire. Et l’actuel président élu est bien le pire de tous les autres avant lui, en l’espace de moins d’une année. Car, dès le départ, il n’avait aucun projet de société. Enfin, le 20 octobre 2014, il a rencontré les partenaires techniques et financiers (PTF, nouvelle appellation des bailleurs de fonds qui endetteront les Malgaches jusqu’à la dernière génération). Le communiqué de presse parlant de cette rencontre indique que : « Le Président de la République a annoncé les quatre points importants à discuter, dont la situation actuelle du pays, la réforme juridique, le Programme National de Développement (PND) et la Réconciliation nationale ». Voilà encore une approche qui n’augure rien de bon dans la pratique. En fait, les priorités rajaonarimampiennes -très discutables en effet- se dévoilent ponctuellement, en fonction de la situation immédiate mais sans résultat concret : insécurité, trafic en tous genres, délestages, hausse incontrôlée du coût de la vie…. C’est cela le vécu du commun des Malgaches depuis Ravalomanana en second mandat, inachevé à cause de la logique imbécile citée plus haut, justement.

Révolution verte, défi 3 du MAP. Exemple de programme voué à l'échec. Manque de communication, oubli total de l'aspect sécuritaire, mécanisation tuant les entreprises agricoles familiales déjà limitées dans l'accès au crédit. Combien de beaux programmes ne collant pas aux réalités exactes du pays, dans la pratique, ont-ils été ainsi abandonnés, car calqués sur ceux de pays avancés ? Or, de l'argent a été dépensé rien qu'en ateliers et autres réunions aussi stériles que vaines. Mais ce sont des vacances tous frais payés pour les "spécialistes" étrangers, et des per diem pour les nationaux qui en redemandent

Concernant ce PND attendu par les bailleurs de fonds pressés d’endetter, ce ne sera rien d’autre qu’un copié-collé chiffré de tous les programmes précédents : des phrases mises bout à bout pour éblouir les bailleurs de fonds qui vont prêter des sous, car il y va de leurs intérêts propres. Le grand public, les électeurs ignoreront les vraies clauses. Cependant, pour ces bailleurs, tout reposera sur la sécurité des investissements étrangers. Pour le reste, que çà marche ou pas (et çà ne marchera pas avec des zigotos pareils à leurs prédécesseurs), les intérêts de la dette ne les « appauvriront » pas. Les dix prochains présidents élus hériteront de cette dette.

Le plan quinquennal du Président Tsiranana n'a pas été suivi par ses différents successeurs. A présent, il n'y a rien à inventer, il y a tout à refaire. Que le Hery vaovao (Force nouvelle) ne se ridiculise pas encore plus qu'il l'est déjà. Même les trains de voyageurs sont devenus inexistants de nos jours. Et pas une seul usine (en haut à gauche) n'a vu le jour au bénéfice des Malgaches

A Madagascar, la tendance généralisée à chercher un bouc émissaire est élevée en un art authentique. C'est toujours la faute des autres...

Au moment où il faut plutôt parler de redressement et de projet de société, nous revoilà revenus 40 ans en arrière. Hery Rajaonarimampianina a urgemment besoin d’argent frais (les voyages stériles pour le peuple, et la ploutocratie doublée du népotisme reviennent chers) et il est prêt à tout accepter pour que les financements promis soient très vite débloqués. Bien évidemment, il y aura des financements qui arriveront car on ne peut endetter sans prêter. Mais dans la pratique, cela se traduira par une utilisation bouche-trou et ce sont les autres qui seront responsables de la faillite annoncée : la colonisation, les Français, les Américains, les périodes de transition, les anciens présidents élus, mon voisin, le boucher, le cordonnier du coin…, les autres quoi !

Les mercenaires politiques de service qui veulent me faire prendre des vessies pour des lanternes. Marc Ravalomanana leur fait-il peur au point de remettre sur le tapis des manœuvres stériles d'antan, dictées par le culte de la personnalité ? Un formidable bond en arrière de 39 ans du temps du FNDR (Front national pour la défense de la révolution). Et ils osent se regarder dans un miroir tous les matins

Car les dirigeants malgaches ont une spécificité mondiale unique: le non-respect de la loi et de la parole donnée. En vérité, je vous le dis, ils ont été, sont et seront toujours les premiers facteurs de blocage de tout développement de leur propre pays. Mais ils lutteront contre toutes les pauvretés persistantes dans des hôtels luxueux, vivront dans des villas aussi luxueuses et rouleront dans des véhicules dernier modèle, en plus des Iphones 6 et 6 plus. Car quand on aime le pouvoir, on ne compte plus. La Communauté internationale sait tout çà mais elle laissera faire car des dirigeants corrompus et dociles sont, pour eux, la garantie assurée de la mise en condition perpétuelle d’une mentalité de colonisés : ne plus pouvoir survivre sans aides extérieures et en se référant toujours sur un passé qui n’a pas été brillant du tout pour ce peuple asservi. Et tandis que ce même peuple prêche systématiquement dans le désert, que les dirigeants, entourés de mercenaires politiques patentés depuis plus de 40 ans, brandissent à chaque fois le spectre d’une guerre civile qui n’aura jamais lieu, les richesses malgaches, qui ne repousseront jamais, foutent le camp. Car bien protégés par des lois « internationales » et des pantins qui se sentent immortels, des dieux parmi leurs compatriotes. Bref, les vrais Judas du devenir de la Nation malgache. Dernière trouvaille en date ? Un front de « défense du choix du peuple » ! Comme si les électeurs n’avaient déjà pas choisi le 23 décembre 2013. Encore un non-sens et le summum de la stupidité dictée par la peur bleue de Marc Ravalomanana qui n’aura jamais dit son dernier mot…

 


Dimanche 18 octobre 2014. Cette année, l’association Akamasoa célèbre ses 25 ans d’existence. 25 ans de combat permanent et de lutte contre la pauvreté qui sévit dans le pays, mais aussi 25 ans d'amour pour tout un peuple exclu.

Puisque nous sommes dans le contexte de la foi, le meilleur exemple de développement (humain), c’est celui du Père Pedro Pablo Opeka dont l’association Akamasoa célèbre, cette année 2014, ses 25 ans d’existence. Pourquoi le Père Pedro a-t-il réussi à atteindre ses objectifs initiaux en un quart de siècle ? Tout simplement parce que ces objectifs n’ont pas dévié d’un iota : lutte contre toutes les pauvretés en redonnant leur dignité aux sans-abri, aux plus pauvres. Sans songer à rouler dans une 4X4 et vivre dans une villa. Bref, sans prétendre devenir un dieu par rapport aux autres. Mais uniquement un instrument de Dieu. A Madagascar, même la religion est politisée…

Déclarations du président Rajaonarimampianina, le 18 octobre 2014, à l’Akamasoa:


« Le Père Pedro est une image vivante de l’espoir et de la foi pour vaincre la pauvreté. Nous invitons tous les citoyens à travers le monde à rendre un hommage vibrant à celui qui a beaucoup investi tous les jours pour combattre la pauvreté, l’exclusion, la discordance afin d’ériger une société qui mérite le bonheur »

Encore un non-sens de sa part. Au lieu d’inviter les autres, il devrait apprendre à se taire et agir comme le Père Pedro. Mais il semble que c’est au-dessus de ses moyens et qu’il est trop tard pour lui, cerné par des dieux qui connaissent bien des secrets financiers et qui ne voudront pas quitter les cieux du pouvoir du moment… A présent, la « réconciliation nationale » est remise sur le tapis. Et tous les imbéciles s’engouffrent dans cet interlude qui escamote les vrais problèmes présents et à venir. Pourquoi ne pas ressusciter Philibert Tsiranana au point où nous en sommes, hein ? Il n’y a jamais eu de guerre interne à Madagascar depuis le retour de l’Indépendance. Il n’y a eu -et il n’y a- que des dieux insatiables et des moutons de Panurge dont toutes les actions sont rythmées par des actions menant vers le cul-de-sac du « mieux vaut mourir demain qu’aujourd’hui ». Du Grand Guignol auto-paupérisant en somme. Je te pardonne mais je t’en ferais voir de toutes les couleurs lorsque mon tour viendra et même reviendra… Un marché de dupes… infernal dans lequel le peuple malgache paiera toujours les pots cassés et qui finira par être totalement dépossédé de son identité culturelle au nom de la mondialisation. Qui nous dit que Madagascar ne sera pas intégré, géographiquement d’abord, au continent asiatique, un jour ?


En ayant rédigé cet article, je n’espère rien de qui que ce soit dans l’immédiat. Bien au contraire, je serai un incompris, traité de fou et un énième ennemi de ce régime aussi bien bananier que ploutocrate. Mais je pense à tous les jeunes Malgaches qui nous remplaceront dans dix, vingt ans. Ils doivent savoir que tout à une fin ici-bas et qu’il sera toujours temps pour eux, au moins, de limiter les dégâts. En agissant tous comme le père Pedro. Certes, cette mutation ne se fera pas du jour au lendemain. Mais je garde une grande espérance et non pas l’espoir qui ne fait que faire vivre les imbéciles. Je suis l’arrière-arrière-petit-fils de Malgaches qui ont toujours lutté contre les injustices. Mon père n’était pas médecin par hasard et je ne suis pas journaliste par coïncidence. Je fais l’Histoire et je fais partie de l’Histoire de mon pays. C’est ma mission terrestre.

Contraste social flagrant mais existant en cette fin d'année 2014

Enfin, du fond de ma tombe, il est clair je ne pourrais plus rien faire pour frapper les esprits. A moins de jouer les fantômes pour hanter les nuits de tous les inconscients au pouvoir. Si Dieu, le Vrai et l’Unique, le veut ! Pour l’heure, la seule et unique réalité à Madagascar est ceci : sur un territoire de 590.000 km², des Malgaches vivent encore à l’âge de pierre (Sud, Sud-ouest), certains au moyen-âge (Fianarantsoa et plateaux centraux), d’autres à la renaissance (Nord et Est), tandis que dans les grandes villes comme Antananarivo, c’est tout cela réuni, plus le monde des NTIC. Alors que des gens vont encore chercher de l’eau à une fontaine publique, d’autres nagent dans leur piscine privée. Belle cohésion sociale, n’est-ce pas ? Cela traduit une très mauvaise répartition des richesses, ce qui est honteux.

Valérie Trierweler et Catherine Schwaab

Et je préfère rigoler lorsque Valérie Trierweiler a assuré à Catherine Schwaab, rédactrice en chef de Paris Match: « A Madagascar, c’est différent, la misère n’est pas apparente. Il faut aller à sa rencontre ». Encore un non-sens, une vision de passante européenne qui n'a fait que passer. Elle n’est sûrement pas passée avenue de l’Indépendance à Antananarivo, la Trierweiler journaliste de renom. C’est clair. Tiens, puisqu'elle est retournée dans l'Hexagone, je l'invite à faire un grand reportage sur certaines associations et Ong françaises qui s'enrichissent sur cette misère (non apparente) des Malgaches. Un beau sujet, un scoop...

Un dossier de Jeannot Ramambazafy – 21 octobre 2014

Mis à jour ( Mercredi, 22 Octobre 2014 20:36 )  
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