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Home Vie politique Dossier Marc Ravalomanana. Ses ineffaçables comptes de faits et méfaits

Marc Ravalomanana. Ses ineffaçables comptes de faits et méfaits

Andry Rajoelina est l'actuel Président de la République de Madagascar élu (President elect)

Jusqu'à aujourd'hui (28 décembre 2019), certains tentent de faire une impasse sur la fortune colossale de Marc Ravalomanana et, surtout, sur la façon dont elle a été constituée. Le 25 janvier 2009, j'avais rédigé l'essentiel de l'article suivant, à 2h du matin, alors que l'on avait signalé la présence de blindés à Arivonimamo (45km de la Capitale) et d'un avion ATR de Antsiranana convergeant vers Antananarivo. Une rédaction sans le pur style “express” sur des comptes de fait qui ne sont pas un… conte de fée.

Pourquoi cet article ?

Bailleurs de fonds, partenaires des pays amis (de l'époque et du temps présent), allez-vous encore longtemps être complices de ce président qui a tout raflé en l’espace de 7 ans ? Ce n’est pas à moi de prouver quoi que ce soit. C’est à lui, Marc Ravalomanana, de démontrer que ce qui suit n’est qu’un tissu de mensonges, du sensationnel, du “scoop” de la part d’un journaliste qui veut se faire un nom. Aza fady! Mes aïeux ont lutté depuis bien avant l’arrivée du général Joseph Gallieni, du temps des “Menalamba” (les Toges rouges), vers 1880. Et moi, je lutte depuis mai 1972 contre toutes les formes d’injustice, d’inéquité, de dilapidation des richesses malgaches par un groupe d’individus sans scrupules. Si le régime Arema de Didier Ratsiraka avait la fâcheuse manie de détourner les aides et les deniers publics, le régime Tim de Marc Ravalomanana vend jusqu’à la Terre-de-mes-Ancêtres ou littéralement “Tanindrazako”. Trêve de bavardages et écarquillez bien vos yeux.

Chassez le naturel, il revient au galop…

Entre 1996 et 2001, on-ne-sait pourquoi, le Premier ministre d’alors, Norbert Lala Ratsirahonana, a octroyé une exonération douanière à la société Tiko. Sans cette exceptionnel “cadeau”, Marc Ravalomanana aurait du payer 750 milliards fmg (60 millions d'euros à l'époque). Élu président de la république, sa société Tiko demeure exonérée de droits de douanes et même d’impôts. Comment voulez-vous qu’il ne soit pas devenu milliardaire? Ce n’est pas son salaire de président qui peut lui permettre de distribuer de l’argent comme s’il n’en avait pas bavé. Mais c’est logique, n’est-ce pas?

Mais pour en revenir un peu en 2001, saviez-vous que du temps de la vice-Primature de Pierrot Rajaonarivelo, la société Tiko n’a jamais payé ses impôts d’un montant de 250 milliards fmg, réclamés alors par le vice-Premier ministre ? Fait étrange, l’agence de la société Tiko, sise à Tanjombato, a été victime d’un incendie qui a ravagé tous les dossiers s’étant trouvé dans le bureau de sa comptabilité. Plus aucun moyen de vérifier quoi que ce soit alors… Ceci explique sans doute le fait d’empêcher ce Pierrot de revenir pays (à l'époque) ? Il ne faut plus s’étonner de rien.

Action…naire !

Une fois Marc Ravalomanana au pouvoir, ce sera la porte ouverte à tous les abus financiers effectués sur le dos de la Nation même. Nation qui, rappelons-le, est composée du peuple. Ayant créé la société ALMA (Asa Làlana Malagasy ou Travaux routiers malgaches), tous les marchés de bitumage de la ville d’Antananarivo, dont le maire était Patrick Ramiaramana, lui sont carrément donnés car sans aucun appel d’offres. Dans le courant de l’année 2002, la famille Ravalomanana s’associe au géant sud-africain Shoprite Holding Ltd (présent dans 17 pays d’Afrique) pour racheter au Monégasque Cyrille Juge, le supermarché “Prisunic” (Grand Magasin de Madagascar ou GMM S.A.) qui se trouvait place de l’Indépendance à Antaninarenina Antananarivo (c'est l'actuel Hôtel & Spa “Le Louvre”). Depuis, aussi facilement qu’un 4 amis (peuple de la rue) monte son taudis en carton, il existe des Shoprite un peu partout dans la Capitale de Madagascar. Le dernier en date étant celui situé à Ampasanimalo, sur la route de l’université. L’hôtel Hilton, plus exactement ses murs, devenu Hôtel Carlton le 2 novembre 2007, a été vendu par la société Henri Fraise et Fils à la société Tiko...).

Les prestigieuses sociétés qui ont fait la fierté de la révolution socialiste sont passées entre les mains de la société Tiko. Il s’agit de : Roso, Somacodis, Sinpa, Sice. Cela, sans transparence (ce n’est pas le fort du régime Tim) et en totale violation de la loi et des conventions nationales et internationales signées, pourtant, par l’Etat malgache. Pour bien ficeler les affaires, Marc Ravalomanana a fait appel à des cadres de Tiko pour les nommer directeurs financiers de ministère. Ce sont les fameux “Tiko Boys”... Cela aide énormément dans l’achat de fournitures “tous azimuts” chez Magro (Malagasy Grossiste) du groupe Tiko, sans la “contrainte” d’appels d’offres. Comment le peuple souverain pourrait-il savoir cela? Dans ce qui suit, il ne faut pas rester amnésique car c’est aux dirigeants Tim de démontrer le contraire : des centaines de milliards de fmg en billets de banque usagés, destinés à être brûlés, ont été “récupérés” pour étoffer les caisses de Tiko et du parti Tim au pouvoir. Vous savez, même les sorties nocturnes des sorcières ont des témoins… “Ny mpamosavy mandeha alina aza misy mahita” (proverbe malgache).

Histoire d’huile et de vaches

Concernant la fameuse détaxation de 2005 : la société Tiko Oil en a été une bénéficiaire exponentielle. Ainsi, si l’huile raffinée, importée par ses concurrents était taxée à 20%, l’huile brute, importée par Tiko Oil pour traitement sur place, était exempte de toute taxe. Du coup, il n’est pas exagéré d’affirmer que le chiffre d’affaires de Tiko Oil a triplé, le temps de la détaxation qui a été finalement abandonnée par la suite. Brusquement, comme çà... Toutes ces actions vers le développement personnel rapide (et durable ?) sont discutées dans les couloirs du pouvoir. Mais personne n’ose en parler clairement. Mais non seulement les murs ont des oreilles mais les mécontents jacassent… En 2005, l’Etat donc le parti Tim donc la société Tiko, a importé ces fameuses vaches hollandaises “be ronono” Holstein (prononcez «olchtahine»). Tous les agents du ministère de l’Elevage qui s’étaient dressés contre ce projet de développement rapide pour Tiko ont été définitivement mis sur la touche. Et, comme par hasard, plus de la moitié de ces vaches haut de gamme -car à 1.500 euros par tête-, a été achetée par Tiko, of course. Mais l’autre moitié dépérit de dépaysement car quel “Malagasy Farmer” pourrait se payer ne serait-ce que la queue? Des exemples de ce genre, indiquant comment marchent les affaires “tikoesques” par rapport aux affaires nationales réelles, il y en a des masses. Mais tout cela nous amène à l’Empire Tiko. Qu’est-ce ?

Corruption : l’exemple vient d’en haut

En 7 ans de pouvoir Marc Ravalomanana a réussi à atteindre deux extrêmes. D’un côté, un peuple qui se paupérise d’années en années, gavé de promesses et d’espoir perdus ; de l’autre côté, une société agro-alimentaire dont le renom a dépassé les frontières de Madagascar. Au début donc, la société Tiko a été créée, mi-1980, grâce à l’appui financier de la Banque mondiale, à travers la Société financière internationale ou SFI et surtout la bienveillance du président Didier Ratsiraka qui s’en mord encore les doigts. Comme partenaires prestigieux de départ, il y avait Unilever et Tetra Laval, le roi de l’emballage (pack) mondial. Marc Ravalomanana est un homme pressé. Tellement pressé qu’il commet une infraction qui va finir par être une habitude. Mais en tant que détenteur de tous les pouvoirs, il ne sera plus jamais inquiété. Même que les bailleurs de fonds vont continuer de bayer (ou bailler) aux corneilles (prenez un dictionnaire si votre culture est moyenne). Ainsi, le 1er Septembre 1988, par ordre du Substitut du procureur de la république d’Antananarivo, Jacqueline Rakotomanga, le sieur Marc Ravalomanana a été placé sous mandat de dépôt à la maison central d’Antanimora sous le n°230-RP/88/TSE/130FAME/JR. Ce, pour corruption en tant que Directeur général de la société Tiko. Il avait corrompu financièrement Jérôme Rabotovao alors Directeur technique de la société Lalasoa -une laiterie de transformation du soja à Ambatolampy- lors de sa privatisation. Témoin de cette corruption : Régine Rakotondrabe alors Directeur général de la société Lalasoa.


Tikoland est le titre d'un livre de 96 pages vendu sur Amazon (ICI)

TIKOLAND ou l’empire tous azimuts

Depuis 7 ans donc (7 ans de malheur pour la majorité des Malgaches), la société Tiko est devenu un groupe, un empire économique très puissant. Il comprend, depuis : TIKO (tous les produits à base de lait, les jus de fruits, l’eau minérale); TIKO OIL PRODUCTS ou TOP (huile de tournesol, de soja…); TIKO AGRI (collecte de tout ce qui se fait en matière de… matières premières. Un champ très vaste…); TOAMASINA OIL PLANTS ou TOP II (tout le système de production d’huile alimentaire dont Tiko a l’entière monopole à Madagascar); IKO (tout ce qui glace); TIA (produits à base de lait plus raffinée comme la mousse au chocolat); TIKO FARM (tout ce qui a trait à l’élevage et ses dérivés : veaux, vaches, cochons, couvées en plus de la collecte de lait qui a conduit à la ruine des centaines de petits producteurs en milieu rural; FEED MILL (tout ce qui a trait à l’alimentation des animaux de ferme, particulièrement les provendes à base de maïs et manioc). Mais Marc Ravalomanana sait aussi qu’il maîtrise la diversification. Ainsi, dans le domaine de l’audiovisuel, il y a le groupe MBS (Malagasy Broadcasting System : radio et télévision qui émettent partout dans la Grande île, “à titre d’essai” depuis 6 ans), MADA RADIO (uniquement à Antananarivo alors pourquoi diable ce nom?) et RADIO FAHAZAVANA (radio évangélique pour confesser ses péchés, sans doute…); dans la presse, il y a “LE QUOTIDIEN” et “NY VAOVAONTSIKA”, plutôt feuilles de louange et de propagande que grand journalisme, à quelques rares exceptions. Pour les grandes surfaces, il y a les MAGRO, implantées, en majorité sur des terrains étatiques parce qu’on peut tout se permettre quand on a tous les pouvoirs. Le MAGRO, à Ankorondrano, a même un Auditorium pour les réunions du parti Tim et même pour des spectacles à caractère culturel. Dans le domaine de l’impression (car çà marche!), il y a MBS IMPRIMERIE et BLUE PRINT. Pourquoi s’arrêter en si bon chemin? Et nous pouvons compter sur TIKO GROUP BTP (spécialisé dans la fabrication de produits pour BTP comme les agglomérés, les buses, la vitrerie, la peinture... bref tout quoi !); ALMA qui rafle tous les marchés juteux sans appel d’offres comme la réfection du terminal de taxi-brousse sur la route-digue, au lieu nommé “Fasan’ny Karana” (lieu d'incinération des restes mortels); CCM pour Compagnie de construction malagasy (bureau d’études de génie civil, construction de routes (encore !), de barrages…).

Après avoir évincé, sans aucun état d’âme, la société KOBAMA d’Edgard Razafindravahy, l’empire Tiko a créé MANA MADAGASCAR, une minoterie qui se trouve dans… l’enceinte même du port de Toamasina, ville bombardée subitement Capitale économique de la Grande île ! (Après le revers du parti Tim face au parti Tgv d’Andry Rajoelina, aux communales de décembre 2007).


Des hangars pour jets privés

Pourquoi rester sur terre ? Ainsi, il y les HANGARS TIKO pour jets privés et pour TIKO AIR. Un ATR pour le moment, mais un second est dans les airs (façon de parler) avec une commande chez Reidsteel Aero UK.

Usine à provendes à Andohatapenaka

En octobre 2008, l’empire Tiko contre-attaque en acquérant très -trop- facilement l’abattoir de la route digue à Antananarivo. Pour inaugurer les travaux de réhabilitation, il est venu en hélicoptère sans aucun journaliste. Donc, pas de photos de cette descente. En fait, il voulait transformer l'abattoir en usine pour provendes à cochons, mettant ainsi les Malagasy au second plan de toute notion de développement. Puis, sans se soucier des problèmes socio-économiques et environnementaux que cela créera, il fait procéder à un remblayage impitoyable des environs jusqu’à Andohatapenaka. En déclarant: “S'il y a encore des terrains à remblayer, je les remblaierai” (“Raha mbola misy tany totofana any dia mbola ho totofako”).

 

 

Enfin, pour couronner le tout, au nom de la République de Madagascar, Marc Ravalomanana fait acheter par son ministre des Finances, Haja Nirina Razafinjatovo, un des Boeing des studios Walt Disney, pour la « modique » somme de 60 millions de dollars. Encore un hic, étant donné que personne ne peut expliquer clairement d’où est sorti cet argent. Par ailleurs, cet avion appartenait à Felham Enterprises Ltd, société qui avait été liée au nom de Walt Disney. Donc, un avion de seconde main, d'occasion. Or, le coût d'un Boeing 737-700 FLAMBANT NEUF se situait entre 58,5 et 69,5 millions de dollars en 2008.

Voleur de... haute voltige

A la même époque, une facture d’un montant de 38 millions de dollars a été payée par Daewoo Logistic (DWL, une autre histoire de terrains qui a fait le tour de la planète), sans doute aux îles Caïmans. Curieusement, la Banque Centrale de Madagascar a opéré, en décembre 2008, un virement de 60 millions de dollars en France, soit l’équivalent de 112 milliards d’Ariary à l'époque. Pourquoi donc, et à qui, la Banque centrale a-t-elle payé près du double de la facture de l'avion, alors que le Chef de l’Etat s’était, dit-on, “personnellement acquitté des 50%” ? Le 27 janvier 2012, selon les déclarations du ministre des Transports d'alors, Rolland Ranjatoelina, il a été prouvé que l’équivalent de 60 millions dollars avaient été prélevés des caisses du port de Toamasina et celles des assurances ARO où l’État possède des actions. Que DWL ait ou non acheté l’avion, où est passé la différence d’au moins 10 millions de dollars?

Ici aussi, il semble qu'aucune suite n'a été faite, dans le tourment de la révolution orange qui allait poindre à l'horizon. Alors, non seulement Marc Ravalomanana est un menteur mais, en prime, c'est un voleur de... haute voltige. Mais jusqu’où ira cette soif de pouvoir et de richesse ? Jusqu’à TIKO MINERALS, TIKO BUS, TIKO MARINE… Si cela n’existe déjà. Et le MAP (Madagascar Action Plan) dans tout çà? Un attrape-bailleurs de fonds, assurément.


La finalité est dans l’évangile selon Saint… Marc

Marc Ravalomanana, vice-Président de la Fjkm (Eglise protestante réformée de Madagascar) devrait pourtant être au courant ce qui suit : Ce n'est peut-être pas impossible, mais il est en tout cas difficile aux riches de devenir citoyens du royaume de Dieu. C'est dans la Bible : “Jésus, regardant autour de lui, dit à Ses disciples : Qu'il sera difficile à ceux qui ont des richesses d'entrer dans le royaume de Dieu !”. Les disciples furent étonnés de ce que Jésus parlait ainsi. Et, reprenant, Il leur dit : “Mes enfants, qu'il est difficile à ceux qui se confient dans les richesses d'entrer dans le royaume de Dieu ! Il est plus facile à un chameau de passer par le trou d'une aiguille qu'à un riche d'entrer dans le royaume de Dieu”. Marc 10.23-25. Et, en plus, il se prénomme Marc !


Ils croient encore avoir affaire à un ange...

Ainsi donc, vous savez, à présent, amis lecteurs, ce qui a empêché le développement rapide et durable, pour le grand nombre, d'être réellement mis en branle à Madagascar. Qu’est-ce qui a alors incité les Malagasy à se révolter ? Là était la question… capitale. Et pour tous ces faits très obscurs, un jour ou l’autre Marc Ravalomanana aura à rendre des… comptes. Ce qui est malheureux, c’est que nombre de membres du parti Tim -et les partis qui s'y associent- croient encore avoir affaire à un ange. Ils ignorent que le monde des affaires -comme celui du show business- est un monde de requins sans pitié. Enfin quoi, aussi : on ne dirige pas une Nation à coups d’ordonnances ou comme si c’était sa propre usine. D’où le nom de Tikoland que j'avais appliqué à l’ensemble de Madagascar.


2018-2019 : jamais deux sans trois

 

 

La Justice divine a tranché via les trois dernières élections majeures organisées à Madagascar, en 2018 et en cette année 2019 qui s'achève. Et, à chacune d'elle, Marc Ravalomanana a perdu. Pourquoi? Parce que Dieu ne lui aura prêté que 7 ans de pouvoir, un chiffre qu'il adorait mais qui l'a perdu. Echec à l'élection présidentielle de 2018 dans laquelle il a perdu face à Andry Rajoelina; déroute aux élections législatives avec seulement 16 députés étiquetés Tim sur 151 députés à l'Assemblée nationale; déconfiture aux Communales, surtout dans la ville d'Antananarivo où son candidat, imprévu par les membres de son parti lui-même, a été battu -bien qu'officieusement encore- par l'ancien ministre des Affaires étrangères nommé par le Président Andry Rajoelina.

Dernier tour dia tsy hita

Marc Ravalomanana a eu 70 ans (encore un 7 dans ce nombre) le 12 décembre 2019. Il déclare avec véhémence à qui veut l'entendre qu'il y a eu des fraudes (“nisy hala-bato”). Quand donc sera-t-il convaincu que même Dieu ne l'écoute plus? Car ce refrain de “hala-bato”, il l'avait déjà fredonné depuis 2002, il y a 17 ans, avec le couplet “Premier tour dia vita”. Après cette troisième défaite -car jamais deux sans trois-, sa chanson préférée sera : “Dernier tour dia tsy hita” (Totale disparition après le dernier tour). Ce serait mieux pour lui et pour la Nation toute entière. Hélas, il est écrit que, pour Marc Ravalomanana, la politique de la terre brûlée et le jusqu'au-boutisme et après lui le déluge soient devenus sa... marque de fabrique. Alors tant pis pour celles et ceux qui tenteront de les mettre en application, guidés par la haine, la jalousie et l'intolérance.

Mais Bonne et Heureuse année 2020 aux femmes et aux hommes de la bonne volonté. Ceci est mon dernier article pour cette année 2019.

Jeannot Ramambazafy - Également publié dans "La Gazette de la Grande île" du samedi 28 décembre 2019

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Mis à jour ( Dimanche, 29 Décembre 2019 06:52 )  
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