Jeannot Ramambazafy et le Président Sud-africain, Jacob Zuma, le 26 septembre 2012 à New York
Depuis sa crĂ©ation, je nâai jamais utilisĂ© facebook, pour la simple raison que le virtuel ne correspondra jamais Ă la rĂ©alitĂ©. Et ce nâest pas maintenant que je vais changer dâavis. Autant jâai dâennemis, autant jâai des amis ici Ă Madagascar et un peu partout dans le monde. De vrais, en chair et en os. Mais je nâempĂȘche pas les autres de rĂȘver dâĂȘtre moi. Ils nâont quâĂ mettre la photo ci-dessus pour encore plus de confusion. Câest gratuit mais je ne sais pas si çà va leur rapporter gros.
Ici, je tiens donc Ă avertir tous les internautes que le compte facebook Ă mon nom nâest pas de mon fait. Câest fou mais certaines crĂ©atures me dĂ©testent mais elles veulent ĂȘtre moi Ă tout prix. En tout cas, je connais la raison de cette usurpation, pas la peine de donner de lâimportance Ă des minables inconnus qui resteront aussi inconnus que le soldat du mĂȘme nom. Mais sans avoir combattu glorieusement. Les adresses dont je mâoccupe Ă plein temps, Ă part d'autres, sont :
http://jeannotramambazafy.overblog.com/
Si le cĆur vous dit de faire amies amis avec un lĂąche qui se prend pour moi, plaise Ă vous. Mais vous ĂȘtes prĂ©venu(e)s. Mes vraies connaissances et les membres de ma famille savent que câest de lâusurpation, Ă travers des informations totalement erronĂ©es. Je nâai pas lâintention dâĂ©crire Ă facebook pour lâenlever. Il est trĂšs facile dâouvrir un compte au nom de nâimporte qui, mĂȘme du Pape. Si certains ont du temps Ă perdre, tant mieux pour eux et bon courage. Le vrai danger de cette dĂ©marche, c'est de connaĂźtre tous mes amis et connaissances. Aussi, si vous m'aimez vraiment, ne cliquez pas sur ce faceboka Ă mon nom ! L'usurpateur se fera attraper un jour ou l'autre, pas de quoi en faire tout un plat. J'y travaille... Ah, en passant, j'ai bien un compte LinkedIn Ă mon nom.
NB : je parle de TOUS LES COMPTES A MON NOM. Il y en a quatre jusqu'ici, dont un avec une tĂȘte de cochon. Si les imbĂ©ciles qui ont effectuĂ© cet "exploit" croient que je vais mourir d'une crise cardiaque, ils peuvent toujours courir. En fait, ce sont eux qui ont une Ă©pĂ©e de DamoclĂšs sur la tĂȘte. Car le jour oĂč je retrouverai ces personnes d'une bassesse d'esprit au ras du lit de boue dans lequel je suis censĂ© me vautrer (on retrouve toujours les auteurs de ce genre de mĂ©fait, c'est une question de temps), elles mĂ©riteront leur peine pour leur tour de... cochon. Croyez-moi sur parole. A prĂ©sent, elles ne dorment plus la nuit de peur de se faire interpeler au moment oĂč elles s'y attendront le moins.
Jeannot Ramambazafy â 27 juin 2013