2019 ! Nous y sommes. Je souhaite à tous, amis comme ennemis, une nouvelle année comme vous la souhaiterez tous selon vos pensées car la pensée crée... Vous voulez du positif? Pensez au bien-être de votre famille pour les 365 jours à venir. Vous voulez du négatif ? Continuez à m’insulter et vous ne ferez jamais rien pour vous et votre famille durant ces mêmes 365 jours, trop occupés à vous occuper de la vie des autres.
Personnellement, en ce 1er janvier 2019, j’ai surtout une profonde pensée à toutes celles et tous ceux qui nous ont quitté en 2018 et aussi à nos parents, amis et connaissances qui les ont précédés depuis la nuit des temps. Ceux qui nous ont donné un nom qu’ils nous ont laissé en premier héritage et que nous transmettrons à nos descendants. Notre tour de quitter cette Brave Terre qui s’en fout (dixit Joe Dassin) viendra bien un jour, ne nous pressons pas...
La nuit de la saint Sylvestre 2018, je l’ai passé, un moment, avec Sandra Bullock via deux de ses récents films sortis en 2018: « Ocean’s 8 » (5 juin) et « Bird Box » (13 décembre). J’ai acheté les deux DVD à Analakely près de l’hôtel « Le Glacier », le 31 décembre. Au début, Mahatehotia était avec moi mais elle s’est endormie, pas très captivée...
Le monde des cinéphiles a connu Sandra Bullock pour la première fois avec le film « Speed » sorti en 1994. Elle était aux côtés de Keanu Reeves.
Dans « Ocean’s 8 », la chanteuse Rihanna joue le rôle de Nine Ball une hackeuse professionnelle coiffée de dreadlocks. Il n’y a rien que des femmes, en fait, qui vont tout faire pour dérober une rivière de diamants valant 150 millions de dollars. Un film d’aventure... palpitant.
Quant à « Bird Box », il s’agit de l’adaptation cinématographique du roman éponyme de l’Américain Josh Malerman. Un film assez effrayant... Voilà ma nuit de la saint Sylvestre 2018. Mais il y avait des amuse-gueules, des jus naturels et un petit festin préparé par une partie de mes proches qui ont fait une nouba d’enfer dans toute la maison, sans invités.
Voila. 2018 est morte, vive 2019 !
Jeannot Ramambazafy - 1er janvier 2019