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Effectivement, on verra tout ici-bas. Même l’incroyable. Au lieu de rester à sa place de vieillard de 75 ans qui en aura tellement fait que ses mandats présidentiels se sont achevés dans l’exil -et par deux fois-, voilà que l’Amiral Didier Ignace Ratsiraka se prend pour le tarzan du jardin des plantes et le crooner de mes deux ex-présidents éjectés du pouvoir comme lui.
Décidément, les Malgaches auront toujours les présidents qu’ils méritent…
Mais trêve de bavardage. Je vous laisse apprécier les photos d’abord. Vous irez ensuite voir la vidéo pour les « sary mihetsika » (littéralement photos qui bougent). A vous de voir si ce retour d’un président sur le retour (d’âge) doit être classé dans la série des vidéos « gags » ou cinéma du grotesque. Certains voulaient un retour inoubliable de l’Amiral rouge, ce 24 novembre 2011 ? Ils sont servis. Pour le reste, Didier Ignace Ratsiraka n’en finira pas d’être démago…
En 1989, le Pape Jean Paul II a fait le même geste: embrasser le sol malgache. Mais Didier Ratsiraka reste le pape des éléphants blancs à Madagascar
Ces deux photos démontrent comment il s'est transformé en tarzan du jardin des plantes...
Non, rien de rien... juste après "Down by the river side" chanté avec un accent de Satchmo du pauvre d'esprit
Non, il ne regrette rien...
Ni le bien qu'on lui a fait...
Ni le mal, tout çà lui est bien égal. Il a raison. A son âge, il a le droit de... déraisonner
Et il paraît qu'il va repartir à zéro. Le comble !
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MAUSOLEE
Puis, à l'adresse de Ravalomanana, sans doute, le tube "Mausolée" de Backom le Rasta. "Tout votre argent ne vous emmènera pas au Mausolée". Seuls vos "Havana" (parents) peuvent le faire
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LECON DE KUNG-FU SUR LA CHANSON "CHOC CHOC" DE MAX EXCEPTION
Didier Ratsiraka a du prendre des leçons par correspondance de Me Avoko Rakotoarijaona, ce jeune homme qui a tout pardonné jusqu'à oublier que c'est l'Amiral qui a fait assassiner son père, Me Pierre Be, en 1985. Et Me Avoko a versé dans une politique malsaine jusqu'à devenir le garde-du-corps de Deba ce 24 novembre 2011. L'exécutant de massacre au char et fusils mitrailleurs sur les adhérents du kung-fu à l'époque, était le Premier ministre Désiré Rakotoarijaona. Eh oui, le même nom. Comme quoi le nom est comme un champ de cacahuètes ("Ny anarana tanim-boanjo"). Qui faut-il plaindre, dès lors, ici ? Moi, Deba, Me Avoko, Me Pierre Be ou les membres du kung-fu sauvagements tués ?
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L'INCONTOURNABLE "ROMBOY !" (TAPEZ DES MAINS !) DEVENU UN CRI DE GUERRE DE L'AREMA
Reportage de Jeannot RAMAMBAZAFY