Le monde entier et les Malgaches eux-mêmes vont enfin finir par se rendre compte pour de bon que le président élu, Hery Rajaonarimampianina, a perdu toute sa légitimité populaire et qu'il n’est qu’un vil usurpateur (il était déjà le remplaçant des docteurs Kolo Roger et Jules Etienne) et qu’il mènera Madagascar nulle part. Car sans programme ni conviction patriotique.
Ci-après une photo prise lors de la campagne présidentielle pour le second tour en décembre 2013.
Décembre 2013. Le candidat n°3 comme un cheveu dans la soupe au milieu de cette couleur orange. Et ce bras plié mollement indique un manque de conviction totale. On voit qu'il n'a pas l'étoffe d'un meneur d'homme. Alors élu ou pas élu, bof... Même moi j'ai voté pour lui, hélas. Mais parce qu'il y avait le jeune homme à côté de lui. Comme la majorité des 53% de votants qui lui ont permis d'accéder au pouvoir suprême. Après ? Il a renié tous ces gens autour de lui et fait des misères aux autres. Dernière en date, Lanto Rakotomanga, à sa gauche sur la photo, député élue MAPAR à Antananarivo II... Et çà continue, même dans son propre camp...
Ci-après, voici des photos prises ce dimanche 26 juillet 2015 à Toamasina. Sans ces couleurs et sans les mêmes personnalités, à peu près, qu’en 2013, Hery Rajaonarimampianina n’aurait jamais été élu président de la république. En fait donc, vu ce qui se passe depuis bientôt deux ans à Madagascar, c’est son ingratitude totale qui lui joue des tours, et la voix de sa conscience l’empêche de se comporter comme un homme d’état. Il ne sera jamais qu’un expert comptable qui a sauté sur une bonne occasion d’être au pouvoir sans plus.
Ce jour-là , le fondateur du groupement politique MAPAR, Andry Rajoelina, a présenté le candidat numéro 1, Elisé Ratsiraka. Rappelons que, sur ordre de la Primature et des ministres du parti Hvm, ce meeting avait était interdit par la biais d'un Commandant de l'OMC (Office mixte de coordination) régional. Après maintes discussions, les militaires de Toamasina ayant avoué qu'ils ne faisaient qu'exécuter les ordres qui leur parviennent, la sagesse l'a emporté sur ce piège flagrant de la confrontation. Prévu sur la plage, cette présentation du candidat Elisé Ratsiraka a pu voir lieu à proximité du lycée. Mais ce changement de dernière heure n'a pas empêché une foule monstre de se déplacer. Qui doit trembler, dès lors? Cliquez aussi ici pour un article assez édifiant...
Jeannot Ramambazafy
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Depuis le fameux Ni...Ni de la communauté internationale, Andry Rajoelina s'est tû. Après la victoire de Rajaonarimampianina, dont il était l'appui principal, l'ancien Président de la Transition a accompli la passation de pouvoir, fait rare dans l'annale de la République, au Président entrant. Et depuis, il s'est effacé du paysage politique malagasy, sans pour autant resté inactif, car à l'invitation multiple de la FFKM, il s'était toujours presenté jusqu'à la rupture definitive du processus d'un pseudo reconciliation nationale ou fampihavanana, alors que l'objectif inavoué c'est de laver tous les méfaits de l'ancien President Marc Ravalomanana. Après un long silence imposé, finalement le jeune Président a pris son bâton de pèlerin, et decide de battre campagne pour ses candidats au maire dans les grands chefs lieux de Madagascar. En commençant par Fianarantsoa, tout pariait sur la popularité du Président de la République qui a, en apparence, drainé une foule lors de l'inauguration du stade d'Ampasambazaha, en passant par les Fianarois réunis par l'ancien President Marc Ravalomanana, mais c'était trop vite dit, le jeune Président du Mapar n'a pas encore dit ses derniers mots. Avec Christine Razanamahasoa, comme candidate, Andry Rajoelina a montré sa détermination et son visage très proche de la population. Les Fianarois l'ont acceuilli massivement, son discours avec ses programmes pour aider la population à sortir de la pauvreté, programme pour les jeunes, entre autre la construction des terrains mixtes dans les Fokontany, l'assainissement de la ville par une mise en place des camions bennes et des bacs à ordure. Octroi des camions pompiers et ambulances, un centre pour les personnes agées, des centres de soin, la refection des ruelles et le retablissement des lumières publiques pour lutter contre l'insécurité, l'amélioation du transport urbain et la mise en place des abri-bus, fait partie de ses projets avec le maire de la ville. Si d'autres font des promesses électoralistes, Rajoelina n'est pas dans cette catégorie, car le passé a appri que tout ce qu'il a promi, il l'avait fait. Mahajanga et Toamasina ont eu les mêmes engouements, des caravanes et des cortèges presque interminable pour l'acceuillir, avec des milliers de personnes qui l'ont attendu dans un lieu trop exiguë par rapport aux personnes qui voulaient le voir et l'entendre. A Mahajanga, une petite fille a traversé toute une foule pour l'atteindre en lui offrant un bouquet de fleur, Rajoelina l'a pris, larme cachée aux yeux. Des pesonnes handicapées sont venues, et rien ne les a arreté. Le clou de la première semaine, était sa participation surprise au côté de Lalatiana Rakotondrazafy, candidate à la mairie de la ville des milles. Un coliseum plein de monde, coliseum construit par Rajoelina avec les ressources propres malagasy, pendant que toute la communauté internationale boycottait Madagascar, il est parvenu a construire la plus grande arène artistique en Afrique. Lalatiana Rakotondrazafy a même écourté son discours quand Rajoelina sortait de l'interieur des milliers de Tananariviens venus en masse supporter leur candidate. Elle a promi à la population Tananarivienne qu'elle accomplirait sa mission de maire pendant tout son mandat de quatre ans, et qu'elle donnerait tout son poids pour faire élire Rajoelina à la prochaine échéance élection presidentielle de 2018. Effectivement, qui aurait cru que Rajaonarimampianina, avec son parti HVM, serait éffacé complètement du paysage, même Ravalomanana allié de circonstance l'a lâché également, conscient du fait que le régime actuel est un boulet pour lui, et s'accrocher peut le conduire au fond du marasme. La dernière tentative du Premier Ministre et des ministres à la solde du HVM était d'interdire le Mapar de tenir un meeting électoral au lieu déjà autorisé par l'autorité locale compétente à Toamasina. Mais encore une fois qui aurait cru que le jeune Président Rajoelina montrerait encore une fois sa sagesse et replier sans faire un bras de fer avec les forces de répressions tenues en laisse par le régime Rajaonarimampianina. En tout cas, personne n'aurait pensé que ce régime puisse devenir un régime de grand éléphant au pied d'argile qui n'attend que sa chute brutale?
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Depuis le fameux Ni...Ni de la communauté internationale, Andry Rajoelina s'est tû. Après la victoire de Rajaonarimampianina, dont il était l'appui principal, l'ancien Président de la Transition a accompli la passation de pouvoir, fait rare dans l'annale de la République, au Président entrant. Et depuis, il s'est effacé du paysage politique malagasy, sans pour autant resté inactif, car à l'invitation multiple de la FFKM, il s'était toujours presenté jusqu'à la rupture definitive du processus d'un pseudo reconciliation nationale ou fampihavanana, alors que l'objectif inavoué c'est de laver tous les méfaits de l'ancien President Marc Ravalomanana. Après un long silence imposé, finalement le jeune Président a pris son bâton de pèlerin, et decide de battre campagne pour ses candidats au maire dans les grands chefs lieux de Madagascar. En commençant par Fianarantsoa, tout pariait sur la popularité du Président de la République qui a, en apparence, drainé une foule lors de l'inauguration du stade d'Ampasambazaha, en passant par les Fianarois réunis par l'ancien President Marc Ravalomanana, mais c'était trop vite dit, le jeune Président du Mapar n'a pas encore dit ses derniers mots. Avec Christine Razanamahasoa, comme candidate, Andry Rajoelina a montré sa détermination et son visage très proche de la population. Les Fianarois l'ont acceuilli massivement, son discours avec ses programmes pour aider la population à sortir de la pauvreté, programme pour les jeunes, entre autre la construction des terrains mixtes dans les Fokontany, l'assainissement de la ville par une mise en place des camions bennes et des bacs à ordure. Octroi des camions pompiers et ambulances, un centre pour les personnes agées, des centres de soin, la refection des ruelles et le retablissement des lumières publiques pour lutter contre l'insécurité, l'amélioation du transport urbain et la mise en place des abri-bus, fait partie de ses projets avec le maire de la ville. Si d'autres font des promesses électoralistes, Rajoelina n'est pas dans cette catégorie, car le passé a appri que tout ce qu'il a promi, il l'avait fait. Mahajanga et Toamasina ont eu les mêmes engouements, des caravanes et des cortèges presque interminable pour l'acceuillir, avec des milliers de personnes qui l'ont attendu dans un lieu trop exiguë par rapport aux personnes qui voulaient le voir et l'entendre. A Mahajanga, une petite fille a traversé toute une foule pour l'atteindre en lui offrant un bouquet de fleur, Rajoelina l'a pris, larme cachée aux yeux. Des pesonnes handicapées sont venues, et rien ne les a arreté. Le clou de la première semaine, était sa participation surprise au côté de Lalatiana Rakotondrazafy, candidate à la mairie de la ville des milles. Un coliseum plein de monde, coliseum construit par Rajoelina avec les ressources propres malagasy, pendant que toute la communauté internationale boycottait Madagascar, il est parvenu a construire la plus grande arène artistique en Afrique. Lalatiana Rakotondrazafy a même écourté son discours quand Rajoelina sortait de l'interieur des milliers de Tananariviens venus en masse supporter leur candidate. Elle a promi à la population Tananarivienne qu'elle accomplirait sa mission de maire pendant tout son mandat de quatre ans, et qu'elle donnerait tout son poids pour faire élire Rajoelina à la prochaine échéance élection presidentielle de 2018. Effectivement, qui aurait cru que Rajaonarimampianina, avec son parti HVM, serait éffacé complètement du paysage, même Ravalomanana allié de circonstance l'a lâché également, conscient du fait que le régime actuel est un boulet pour lui, et s'accrocher peut le conduire au fond du marasme. La dernière tentative du Premier Ministre et des ministres à la solde du HVM était d'interdire le Mapar de tenir un meeting électoral au lieu déjà autorisé par l'autorité locale compétente à Toamasina. Mais encore une fois qui aurait cru que le jeune Président Rajoelina montrerait encore une fois sa sagesse et replier sans faire un bras de fer avec les forces de répressions tenues en laisse par le régime Rajaonarimampianina. En tout cas, personne n'aurait pensé que ce régime puisse devenir un régime de grand éléphant au pied d'argile qui n'attend que sa chute brutale?
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