Finalement, ce sont près de 1.000 Cv qui sont parvenus à l’adresse e-mail du groupe Osmosis Business Solutions ou O.B.S. Et çà continue ! Du coup, Marcel Ramanantsoa, PD-G, et son équipe ont décidé de passer le turbo. O.B.S. Océan Indien Année nouvelle, décisions nouvelles également. Ainsi, à partir de ce jour, O.B.S. Madagascar devient O.B.S. Océan Indien (O.B.S.-O.I.). Par ailleurs, depuis samedi dernier, la filiale pour la Grande Île est établie au deuxième étage du centre commercial « Cap 3000 », à Andraharo Antananarivo. Dans le contexte de l’alternance, la gérance de 2005 change de main. Enfin, d’ici quelques mois, O.B.S. Institute -pour des formations diplômantes, compétences métiers, « Help desk », ingénierie informatique, développement et administration des bases de données- ouvrira ses portes à la même adresse. Mais plus fort encore, et grande première dans nos contrées, O.B.S.-O.I. va constituer la première « Cévéthèque » liée aux métiers des Ntic. Au service de la Nation… " Il s’agira d’une base de données unique des compétences métiers ", a affirmé Marcel Ramanantsoa. Et encore une fois, ce PD-G dynamique qui mène une politique entreprenariale à la hauteur de ses ambitions –et aussi de ses moyens et vice-versa- intime tous ces jeunes Malgaches à garder le contact. « Tout au long des cinq années à venir, nous allons renforcer notre équipe. Soyez prêts ! ». Et pour nous prouver cette conviction, les voilà , sur la photo (qui sera en ligne dans pas longtemps), résolument tournés vers l’avenir et le développement durable grâce aux métiers des Ntic au service de la Nation !
Le groupe O.B.S.
Un seul exemple clair et précis
C’est fou mais lorsque Messieurs Marcel Ramanantsoa et Augustin Andriamananoro étaient à Antananarivo (ils sont de retour en France, ce lundi 5 février 2007), j’ai été sidéré par l’ignorance de gens de toutes conditions sociales, à propos des métiers des Ntic. Avant de vous informer de ce qui suit, je me suis moi-même informé et j’espère que cela aidera à éclairer la lanterne de ces citadins de la Capitale de Madagascar.
Ainsi, plus qu’une « simple » société qui réalise et héberge des sites web, O.B.S. crée des outils de très haute technologie. Comme exemple –parmi d’autres encore plus performants-, j’attire, ici, votre attention sur son fameux
« OBS-NetBox ». Pour les profanes (comme pour les autres d’ailleurs), il s’agit d’un terminal sécurisé aux serveurs d’entreprises de toutes tailles et où qu’elles se trouvent. « Time » étant « money », « OBS-NetBox » permet de se libérer des contraintes liées à l’exploitation et à la maintenance des postes informatiques. Il assure un haut niveau de sécurité pour travailler à distance sur un serveur d’entreprise et permet de réaliser des économies sur les frais généraux et dépenses informatiques. Et les autres avantages ? Place à Augustin Andriamananoro, l’expert en communication du groupe O.B.S., en style télégraphique : « Déploiement rapide des postes de travail ; faible consommation électrique (-70%) ; mise à jour centralisée des applications ; coût réduit des licences logiciels ; sécurisation et la fiabilisation optimale du réseau ; restauration du système d’information dans son intégralité en temps record en cas de panne critique ». Mais attention ! Rien de cela ne pourrait se faire sans les ressources humaines. Et c’est pourquoi Messieurs Ramanantsoa et Andriamananoro sont venus récemment à Madagascar. Pour recruter et former des techniciens qui se chargeront de concrétiser au mieux ce gain énorme de temps et d’argent. Beaucoup de multinationales font confiance au savoir-faire du groupe O.B.S. Il n’est pas dans mes habitudes de jeter des fleurs pour rien mais le slogan « O.B.S au coeur des technologies innovantes » correspond à la réalité et ce n’est pas du baratin. Mais, conscient que le marché à Madagascar, dans ce domaine « High level » n’en est qu’à ses balbutiements, il a été décidé decouvrir toute la sous-région et non pas se focaliser sur la Grande Île. D’où la naissance d’O.B.S. – Océan Indien. A présent, s’il yen a qui n’ont encore rien compris de la raison d’être de ce groupe, je m’en vais changer de métier.
Jeannot Ramambazafy : Madagate.com Madagascar.