«Le droit à l’information : le droit de savoir ». Tel est le thème choisi par l’Onu et l’Unesco pour célébrer, cette année 2010, la Journée mondiale de la liberté de presse (3 mai). Dans ce contexte, le Club des Journalistes Doyens (CJD) et l’association des personnes du troisième âge à Madagascar (FIZOMA), l’Association des jeunes journalistes de Madagascar (AJJM) et le Collectif des Photographes, ont organisé conjointement, au CITE Ambatonakanga, une exposition exceptionnelle. En effet, elle a retracé les jalons de l’histoire du journalisme à Madagascar du temps de la royauté à nos jours. Madagate était là . Un reportage que vous ne trouverez nulle par ailleurs.
Tout est prêt, semble nous dire Rémi Rahajarizafy qui m'a mis sur la voie du journalisme d'archives historiques
Mais, avant toute chose, voici le nom des lauréats du concours de journalisme d’investigation organisé, de son côté par l’ambassade des Etats-Unis :
Presse écrite : Riana Raymonde Randrianarisoa, journal Taratra,
Presse en ligne : Lucien Ranaivoson, presse en ligne www.feonimerina.com
Radiodiffusion : Harrison Ratovondrahona de la Radio Nationale Malgache
Télévision : Fidisoa Andriamasiarivelo de la Télévision Nationale Malgache.
A droite, Fidisoa Andriamasiarivelo venue au CITE ce 3 mai 2010
La remise des prix a également eu lieu, le 3 mai 2010, au « Point Liberty » d’Andranomena. Huit autres journalistes ont aussi été primés. La valeur totale des prix octroyés par l’ambassade américaine s’élève à 2.500 dollars d’équipements informatiques et de téléphonie mobile.
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Il faut savoir que la Journée mondiale de la liberté de presse a été instaurée par l'Assemblée générale des Nations Unies en décembre 1993 après la tenue du Séminaire pour le développement d'une presse africaine indépendante et pluraliste. Ce séminaire s'est déroulé à Windhoek (Namibie), en 1991, et a conduit à l'adoption de la Déclaration de Windhoek sur la promotion de médias indépendants et pluralistes. La Déclaration de Windhoek exigeait l'établissement, le maintien et la promotion d'une presse pluraliste, libre et indépendante et mettait l'accent sur l'importance d'une presse libre pour le développement et la préservation de la démocratie au sein d'un État, ainsi que pour le développement économique. La Journée mondiale de la liberté de presse est célébrée le 3 mai de chaque année, date à laquelle la Déclaration de Windhoek a été adoptée.
Dans ce contexte, madagate.com ne faisant jamais les choses à moitié, voici le message d’Irina Bokova, Directrice générale de l’Unesco :
Irina Bokova
Cette Journée mondiale de la liberté de la presse, qui a pour thème la liberté d’information, vient nous rappeler l’importance de notre droit de savoir.
La liberté d’information est le principe selon lequel les organisations et les gouvernements ont le devoir de communiquer ou de rendre facilement accessibles les informations qu’ils détiennent à quiconque souhaite en prendre connaissance, en vertu du droit du public d’être informé.
Le droit de savoir est la clé d’autres droits fondamentaux, et le gage de plus de transparence, de justice et de développement. Avec la liberté d’expression, qui lui est complémentaire, il est l’assise même de la démocratie.
Nous n’avons pas forcément conscience d’exercer notre droit de savoir. Mais chaque fois que nous ouvrons un journal, que nous allumons la télévision ou la radio à l’heure des informations, ou que nous nous connectons à Internet, la qualité de ce que nous voyons ou entendons repose sur l’accès de ces médias à des informations exactes et à jour.
Les obstacles à notre droit de savoir prennent des formes diverses, qui peuvent aller du manque de ressources et d’infrastructures adaptées, à l’obstruction délibérée.
Bien trop de journalistes font leur métier dans un contexte où des restrictions sont imposées à l’information, où les pressions, le harcèlement, l’intimidation, voire les agressions physiques, font partie du quotidien.
L’an dernier, l’UNESCO a condamné les meurtres de 77 journalistes. La plupart de ces journalistes ne couvraient pas de conflits, mais des sujets locaux.
J’invite tous ceux qui célèbrent la Journée mondiale de la liberté de la presse partout dans le monde à observer une minute de silence en mémoire des journalistes qui ont payé de leur vie notre droit de savoir.
Mais nous devons reconnaître que des progrès ont été accomplis.
Dans le monde, de plus en plus de pays adoptent une législation sur la liberté d’information. Il est ainsi plus aisé pour le public d’être au fait de l’action des gouvernements, pour plus de transparence.
Dans le même temps, des technologies plus rapides et moins chères permettent à un nombre croissant de personnes d’accéder à des informations qui vont au-delà de leur environnement quotidien.
Il est temps de mettre à profit ces avancées, en renforçant les institutions, en assurant l’indispensable formation des professionnels de l’information, et en encourageant une plus grande ouverture au sein de nos secteurs publics, ainsi qu’une plus grande sensibilisation du public.
J’appelle les gouvernements, la société civile, les médias et chacun à se mobiliser aux côtés de l’UNESCO pour promouvoir la liberté d’information dans le monde entier.
Irina Bokova – 3 mai 2010
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A présent, revenons au vif du sujet de ce 3 mai 2010 au CITE Ambatonakanga
Le second journal paru à Madagascar après "Teny soa hanalan'andro" en 1866. La presse écrite dans la Grande île a bien 144 ans d'existence en cette année 2010
Ci-après, quelques titres inconnus des lecteurs de ce troisième millénaire :
Tsolotra, actuellement kolikoly. Eh oui, la corruption faisait déjà des ravages en 1959
La langue malgache n'a jamais été délaissée. Mais toute malgachisation de l'enseignement a été un fiasco car mal préparée sinon diabolisée
Liva Rakotondrasata
Journaux de notre époque actuelle
" La photo donne à l'information sa véritable nature et sa forme réelle "
Arrivée de Nathalie Rabe, ministre de la Communication
Dès l'arrivée de la ministre, un tour de l'exposition a été effectué, dirigé par Daniel Rakotoseheno alias Dany Be.
La presse écrite
Le photo journalisme. Sur les photos que j'ai rendues floues par respect pour sa famille, Andry le cameraman de la Rta, tué le 7 février 2009 devant le palais d'Ambohitsorohitra
Place du 13 mai, en pleine révolution orange, en 2009. Les reporteurs d'images en action !
La caricature de presse
Un dessin très explicité de notre très regretté Aimé Razafy. Ronono c'est le lait et tavy c'est le pot. La signification de "ronono an-tavy" (littéralement lait dans un pot) c'est DEMAGOGIE
No comment. Ces planches datent de 2009
Quelques membres du CJD : Rahajarizafy Rémi, Razafindramiandra Moks Nasoloarisoa, Rakotomaharo Abraham Paul, Rakotondrasoava Georges qui a rappelé le parcours du CDJ puis introduit Madame la ministre qui va entamer un discours de bilan et perspectives
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Avant son discours-fleuve, la ministre a remis une attestation, une enveloppe et une couverture à Madame Ramariela, née vers 1922 à Antanifotsy et crieuse de journaux depuis 45 ans. Il fallait le faire ! Sur une idée originale de Dany Be
Nathalie Rabe n'est pas Natahalie Cole. Elle ne va donc pas chanter mais... "kabarer"
Kabarin-dRamatoa Nathalie Rabe, ministry ny Serasera
Ramatoa sy Andriamatoa mpanao gazety,
Ramatoa sy Andriamatoa mpaka sary,
Ianareo nasaina manamboninahitra,
Tompokolahy sy Tompokovavy,
Manao aza fady aho, fa ny aza fady sady mari-panajana no fangatahan-dalà na raha hiteny. Hiteny manoloana anareo zoky, raiamandreny tompon’ny haja sy ny voninahitra ka miala tsiny indrindra.
Manaraka izany, raha tonga tsy miarahaba, hono, toa tezitra, isika eto anefa samy faly avokoa ka fifaliana ho ahy ny manolotra ny arahaba ho anareo rehetra.
Ety am-piandohana dia tolorako fisaorana Andriamanitra avo indrindra nanome hery, tanjaka ary fahasalamana ka afaka mifanatri-tava eto isika mianakavy androany.
Ry namana isany,
Ny nahatongavantsika eto dia ny fiarahana hankalaza ny Andro Iraisam-pirenena manamarika ny « Fahalalahan’ny asa fanaovana gazety », androany 3 may. Andro lehibe ho anareo mpanao gazety ny andro toy izao, ka faly miarahaba anareo mpanao gazety ny tenako amin’ny anaran’ny Ministeran’ny Serasera sy amin’ny anaran’ny Fahefana Avon’ny Tetezamita.
Tamin’ity taona 2010 ity dia ny lohahevitra nofidian’ny Unesco dia ny « Liberté d’Information ». Fa raha ny « Liberté d’Information », ny fahalalahana ny vaovao no resahina dia tsy mikasika ny mpanao gazety irery fotsiny ihany :
Eo ny zon’ny olona rehetra hafantatra ny vaovao ;
Eo koa ny zon’ny olom-pirenena tsirairay avy hahalala ny zo fototr’izy ireo ;
Ary eo ny zo avy amin’ny fahalalahana hiteny, izay tsy miala amin’ny fahalalahana ny hahazo vaovao, satria io no fototry ny demokrasia.
Misy izany ny fahalalahan’ny mpanao gazety haneo ny heviny fa misy koa ny fahalalahan’ny mpanjifa hiaino, hahita, hamaky vaovao marina sy taratry ny zava-misy. Kanefa tsy tokony mody tsy hita ny zava-misy eto amin’ny tontolon’ny asa fanaovana gazety :
Tsy ampy ny rafitra hafahan’ny mpiray tanindrazana rehetra manerana ny nosy hahazo vaovao ;
Mbola be loatra ny Malagasy tsy mahay mamaky sy manoratra kanefa mia maro dia maro ny gazety an-tsoratra ;
Mbola misy ihany ny teritery etsy sy eroa na ara-toekarena izany na ara-politika.
Ka hitsinjovana an’izany rehetra izany dia efa misy ny asa napetraky ny Ministeran’ny Serasera :
- Ezaka mba hamerenana ny haino aman-jerim-pirenena amin’izay rafitra azo atao ;
- Fameranana amin’ny hasiny ny mpanao gazety any amin’ny faritra amin’ny fiahonana natao tamin’izy ireo rehefa mitety faritra ny tenako -satria ny Ministeran’ny Serasera dia tsy mihahy ny manao gazety eto andrenivohitra ihany fa ny mpanao gazety rehetra, na aiza na aiza, na inona na inona ny finoany ary na inona na inona ny heviny- ;
- Fametrahana ny Vaovaom-paritra amin’ny Televiziona nasionaly mba hafahan’ny Malagasy rehetra manerana ny nosy mahafantatra ny zava-misy eny amin’ny faritra hafa satria Madagasikara dia faritra 22 fa tsy eto Analamanga irery ihany ;
- Fanamorana ny nametrahanareo mpanao gazety ny Satan’ny fampalalam-baovao mandritra ny fifidianana -izay marihiko etoana fa fampantsiahivana ny « Convention de Munich » sy ny « Charte de la déontologie » izay efa misy.
Teo koa ny famerenana ny CSCA na ny « Commission Spéciale de la Communication Audiovisuelle », mba tsy ho olon-tokana irery intsony no manapa-kevitra momba ny fanomezan-dà lana, na fanasaziana haino aman-jery tsy miankina. Tiako ny manamarina eto fa amin’ity herinandro ity dia hankalaza ny trano vaovao ny CSCA isika -satria ny tanjon’ny Ministera dia ny fahaleovantena tanteraka io CSCA io.
Teo ny fiahoanana miaraka amin’ny « attachés de presse », ny « rédacteurs en chef » sy ny « directeurs de publication ». Izany dia natao mba hanamorana ny asa sy ny dinidinika ary ny hevitra afaka haroso eo amin’ny fianakaviamben’ny mpanao gazety. Nisy koa ireo fiofanana samihafa niarahana tamin’ny Unicef ho an’ny mpanao gazety sy teknisiana miankina sy tsy miankina any amin’ny faritra valo.
Ny tanjona afa ho tratrarin’ny Ministeran’ny Serasera ary efa eo am-panatanterahana izany isika amin’izao fotoana izao dia :
Ny fametrahana ny Sata manokana hifehyn ny ORTM (TVM, RNM, DIT…) mba hangarahara ho an’ny rehetra ny fitantanana ny haino aman-jerim-pirenena.
Misy koa ny famolavolana ny Sata manokana hifehy ny serasera amin’ny haino aman-jery, dia ny CSCA na ny « Conseil Supérieur de la Communication Audiovisuelle izay efa voaresako teo.
Eo ny hanatanterahana ny « Journées bloquées de la formation journalistique » izay iarahana amin’ny tompona orinasa mikirakira ny haino aman-jery, ny « directeurs de publication », ny « rédacteurs en chef », ny mpanao gazety ary ireo mampiofana ho an’ny asa fanaovana gazety. Izany dia hafahana mamoaka ny « plan de formation à court et à moyen terme » ho an’ireo mpanao gazety.
Eo ny fanadiadiana ny hametrahana rafitra mitsinjo ny tontolo iainana –tahaka ny « énergie éolienne » any amin’ny masoivoho ara-teknikan’ny ORTM any amin’ny faritra.
Misy ireo tetik’asa izay manamora ny fahalalahan’ny vahoaka hahazo vaovao izay tsy miankina amin’ny Ministeran’ny Serasera fa any amin’ny Ministeran’ny Fifandraisan-davitra, kanefa manamora izany izany fanapariahana ny vaovao :
Samuel "Sammy" Ramarokoto chargeant son "finday" (portable)
Anisan’izany ny « démocratisation » ny finday –izay hafahan’ny mpanao gazety any amin’ny faritra mampita ny raharaha any amin’izy ireo ;
Misy koa ny rafitra goavana tahaka ny « backbone » mba hafahan’ny TVM mampita mivantana ny lanonana lehibe any amin’ny faritra. Ny « backbone » koa dia afahana mandefa aingana dia aingana ny « éléments » ny mpanao gazety any amin’ny faritra, amin’ny alà lan’ny mailaka na ny FTP.
Izany rehetra izany dia hiara-tsika rehetra dinihina mba hifantoka amin’ity lohahevitra amin’ity androany ity : ny « Liberté d’Information ». Nefa mbola maro ny tetik’asa ho atao. Anisan’izany :
Ny « Loi sur la Communication », izay hihainga avy amin’ny « Code de la Communication », izay efa mandroso mian-dà lana eny ihany ;
Ny fahalalahan’ny haino aman-jery tsy miankina hanely manerana ny nosy amin’ny faran’ny volana desambra 2011. Hita-tsika arak’izany fa ny fahalalahana ny rehetra hahazo vaovao dia miaraka amin’ny fahalalahan’ny mpanao gazety hampita vaovao marina ho an’ny amin’ny mpanjifa. Izany dia miankina be dia be amin’ny fahalalahanareo mpanao gazety anao am-pitoniana ny asanareo. Kanefa kosa io voam-bolana « Fahalalahana » io dia raha tena dinihina dia samy manana ny fandikana azy samy irery ny olona tsirairay. Misy fiteny amin’ny teny frantsay milaza hoe : « La liberté des uns s’arrêtent là où commence celle des autres ».
Rehefa miresaka zo isika, dia misy ny adidy. Ka mahatoky anareo mpanao gazety ny tenako fa matotra sy hahay mifananatra ianareo amin’izany fitsinjovana ny adidinareo izany. Ny fikambanan’ny mpanao gazety zokiolona dia eo hanampy anareo zandry mpanao gazety hijery izany tontolon’ny asa fanaovana gazety izany.
Raha tena iriko, ny tenanay sy ny Ministera, dia ho fanamarihana ity Andro Iraisam-pirenena ho amin’ny fahalalahan’ny mpanao gazety androany ity, dia mangataka fotoana fahanginana (« minute de silence ») amin’ny haino aman-jery, amin’ny iray ora tolakandro, ho mariky ny fahatsiarovana ny mpanao gazety maneran-tany maty teo ampanatanterahana ny asany.
Une minute de silence a été observée en hommage aux journalistes du monde entier -dont Andry- morts dans l'exercice de leur passionnant mais dur métier
Izay no ela.
Misaotra anareo naharitra nihaino.
Misaotra Tompokolahy, mankasitraka Tompokovavy.
Nathalie Rabe - Ministry ny Serasera
3 May 2010
Combien des 1.100 journalistes malgaches connaissent ces textes et lois ?
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Rémi Rahajarizafy, auteur d'un 13 mai 1972 rédigé en malgache, présentant quelques titres méconnus du public
Camerawoman et photographe au féminin à l'oeuvre
A gauche, Madame Marthe. conteuse et fervente amie de la presse malgache
Jean Victor Raliarison et Paul Abraham
Consoeur discutant avec le docteur Manan'Ignace, un nationaliste des premières heures
Moks et Gisèle Rakotoarivony alias Tata ou Fafa
Au centre, l'ami Pascal, à l'extrême-droite Niry Ramanitra
Heu, trou de mémoire énorme quant à leurs noms
L'assistante particulière de la ministre Nathalie Rabe
En marron clair, Taitsy Gilbert à la coiffure dégarnie, par rapport au Taitsy des années 90...
Non, ce n'est pas Camille Vital mais Félix Malazarivo à côté de Nathalie Rabe aux yeux...
Dany Be invitant à contribuer pour la survie du CJD qui vit en autofinacement
ET le bon exemple vint d'en haut
James Ramarosaona, Jean Louis Rafidy et Félix Malazarivo
Volana Rasoanirainy
Qui sont-ils ? Ah ah...
Désiré Razafindrazaka, Monsieur Madajazzcar, et Nathalie Rabe
Tsilavina Ralaindimby et Anicet Andriantsalama
Francs rires d'un journaliste et d'un "mpikabary"...
Niry et un "zobike"
Le "zobkibe" en question et un doyenne très farouche du métier
Félix Malazarivo et Jean Aimé Rambeloson
Voilà ce que l'on nomme photojournalisme de groupe par excellence
Moks, président de la FIZOMA et Elisé Ranarivelo, le caricaturiste-phare
James, Gérard et Joël
Jeannot Ramambazafy et Jocelyn Rafidinarivo alias Jean-Louis Rafidy
Interview de Georges Rakotondrasoava. Manquants à ce rendez-vous : Gabriel "Basy vava" Ramananjato, gravement malade, et "Big" Max Ratsimandisa évaporé dans la nature
Une seule arme : la presse
La liberté de la presse est considérée comme une pierre angulaire des droits de la personne et comme une assurance que les autres droits seront respectés. Elle favorise la transparence et une bonne gouvernance et représente, pour la société, la garantie que régnera une véritable justice. La liberté de la presse est le pont qui relie la compréhension et le savoir. Elle est essentielle à l'échange d'idées entre les nations et les cultures, qui est lui-même une condition menant à une compréhension et à une coopération durables.
Pour compléter ce grand dossier, et pour les générations à venir, voici le nom des ministres de tutelle de la presse malgache dans son ensemble (presse écrite, audiovisuelle et cyberjournalisme), de l'indépendance à nos jours :
Ramanantsoa Charles
Rajaonarivelo Alfred
Ramangasoavina Alfred
Rasidy René
Andriamaholison Richard
Andrianarahinjaka Lucien Xavier Michel
Laha Gaston
Ruphin Georges
Rakotomavo Bruno
Simon Pierre
Rahaga Jean Claude
Ralaindimby Tsilavina
Rakotomalala Mireille Mialy
Razafindramiandra Henri
Rambeloson Alfred
Beantanana Eric
Rakotoarivelo Mamy
Razafinjatovo Haja Nirina
Mahazaka Clermont Gervais
Andriantavison Bruno
Andriamananoro Augustin Razafinarivo
Nathalie Rabe
Un grand reportage de Jeannot RAMAMBAZAFY- 3 mai 2010 Ã Antananarivo