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Madagate à Rio de Janeiro : Bem-Vindo ! Photos 1

Cristo Redentor et Jeannot Ramambazafy

Ce n’est pas tous les jours qu’un journaliste malgache va au Brésil, surtout à Rio de Janeiro. Madagate y était, du 19 au 23 juin 2012. Photos inédites, loin des clichés cartes postales… Premier album. Les vidéos suivront bientôt sur http://www.youtube.com/papizano100

Mais il y aura d’autres albums.

Rio de Janeiro est la seconde plus grande ville du Brésil. Elle se trouve au sud-est du pays, face à l’océan atlantique. Ce n’est plus la Capitale de ce pays, actuellement à régime politique fédéral, mais la Capitale de l’Etat de Rio de Janeiro. Le nombre total de ses habitants est de presque 18 millions dont quelques 6,2 millions intra-muros, ceux qu’on nomme les Cariocas ; et près de 11,5 millions dans l’aire urbaine. Rio de Janeiro est l’un des mégapoles les plus importantes du continent américain (nord et sud confondus).

CRISTO REDENTOR

Durant la période de mon séjour, y était organisé le sommet Rio+20, que je traiterai dans un dossier à part. La ville de Rio est mondialement réputée pour son carnaval, Copacabana et Ipanema, ses plages ouvertes, et l’immense statue du Christ Rédempteur (Cristo Redentor) qui du haut du sommet du Corcovado, semble protéger la ville entre ses bras tendus.

Presque le quart des Cariocas vit dans les Favelas, ces habitations construites à flanc de collines. Pas tellement bidonvilles mais il n’est pas bon pour un étranger de s’y aventurer… Il existe 968 favelas à Rio. Les plus connues sont : Dona Marta, Ladeira dos Tabajaras, Santa Marta, Mangueira, Morro do Borel, Cidade de Deus, Vigidal, Rocinha, Bento Ribeiro. C’est à Rio de Janeiro qu’a eu lieu le tournage de Fast and Furious 5 avec Vin Diesel et Paul Walker.

Ici, racisme connaît pas. D’ailleurs, la Consitution interdit et condamne la discrimination raciale sous toutes ses formes. L’article Premier de la Constitution de 1988 stipule que le Brésil « constitue un État démocratique de droit [qui] a pour fondements [...] la dignité de la personne humaine ». Pour sa part, l’article 5 précise même que « la pratique du racisme constitue une infraction pour laquelle il ne sera autorisé aucune libération sous caution et entraînera une peine de réclusion ». La population de Rio est composée de Blancs, Noirs, Amérindiens, Asiatiques, Pardos ou mulatos (métissage blanc et noir), Caboclos ou Mamelucos (métissage blanc et indien) et Cafuzos (métissage indien et noir). La majorité des Cariocas sont de descendance portugaise, africaine et malgache. Mais il existe des communautés autres qui y vivent : Libanais, allemands, italiens, juifs, espagnols, japonais.

Enfin, sachez que Rio de Janeiro est devenue la quatrième ville la plus chère au monde, après Tokyo, Londres et Hong-Kong, mais devant New York, selon Cushman & Wakefield. A présent, allons-y gaiement.

Reportage (Textes et photos) : Jeannot RAMAMBAZAFY

Il faut un visa comme çà pour entrer au Brésil

Un parking suspendu très végétal, dans le quartier de Flamengo

Les deux journaux les plus lus à Rio

J'ai été sidéré par le boom de construction d'immeubles dans les quartiers dits "chics"

Les Cariocas se déplacent beaucoup en bus. Ce qui pose quelques problèmes de pollution. Tiens ? Une affiche du film Madagascar 3 à l'arrière de ce bus

On est au bord de la mer, il fait chaud. La police ne bronche pas

Plaque d'immatriculation de l'Etat de Rio de Janeiro

Tous les bus sont luxueux avec un moteur turbo

Taxis à l'arrêt à un feu rouge. Les plaques sont rouges pour eux, comme pour tous les transports en commun d'ailleurs

En Malgache, "Ao Longo" signifie littéralement, dans le sud: là est la famille

Une école datant de 1907

Faites attention: croisement ! Et non pas pharmacie

Il existe plusieurs statues de ce genre dans les quartiers chics de Rio

Cristo Redentor veille vraiment sur la baie de Rio

Complexe sportif de Botafogo

Un tunnel fait de béton armé

Force de persuasion

Station-service Petrobras, compagnie pétrolière brésilienne

Police vigilante. Mais il n'est pas interdit de discuter

Nous voici en plein Copacabana

Mais si, les charrettes à bras existent !

Je suis resté ébloui par la propreté des lieux. Il faut savoir que la plage est ouverte à tous

Un hélicoptère surveille en permanence la plage et sa proximité

Ici, le nettoyage est systématique. Pas un seul bout de papier en traîne. C'est cela le civisme et l'autodiscipline qui manque cruellement aux Malgaches

La police est onmiprésente

L'autre côte de la plage de Copacabana, qui est, rappelons-le ici, un quartier de Rio

Il existe énormément de VW Coccinelles au Brésil

Un garde-côte sillonne le front de mer en permanence également

Agents de la police municipale

Sandwiches typiquement brésilien que l'on peut déguster sur place. Tout est propre, net

Les pigeons se sont habitués aux hommes

Sur le réputé trottoir de la plage de Copacabana, au design unique au monde

Tricycles comme support publicitaires. Pas mal !

Dommage que le temps n'était pas au beau fixe, lors de ce séjour brésilien

Pizza. C'est devenu mondial ce mets-là !

Garde-côte vu de plus près. Il est armé

Harley Davidson de la police nationale brésilienne

Véhicule des troupes de choc

Embouteillage. Ici aussi les taxis sont jaunes. Mais moins criards qu'à New York

Il existe beaucoup de clubs de ce genre à Rio

Un quartier qui me fait penser à celui d'Antsahavola à Antananarivo. Mais en plus "humainement dégagé"...

Maison de la Culture Laura Alvim

C'est clair comme panneau de signalisation. Il suffit de regarder les dessins

Une fourgonnette VW. Il y en a des tas à Rio

La fameuse plage d'Ipanema. Where is the girl ? Nobody is here, because of rain

Rocinha. Une des nombreuses favelas. La pluie a failli gâcher totalement la photo

Une station-service de la société brésilienne Ipiranga

Shell est présente. Les prix sont en réal. Un euro vaut 3 reais à peu près

Attente du bus sous des abris bus évidemment

Tunnel creusé à même la roche. Non, au Brésil la conduite n'est pas à gauche, mais j'étais dans un cortège officiel prioritaire

Et encore un VW

Sans la plaque en portugais, on se croirait quelque part dans Antananarivo. En plus propre

Un grand magasin tout vitré

Coin VVIP (très très importantes personnes). Les militaires sont de la partie

Pas mal la manière de porter son parapluie

Une boîte de nuit qui s'ouvre à 22h

Attention ! Ce panneau signifie STOP !

Textes et photos : Jeannot RAMAMBAZAFY - Juin 2012

Mis à jour ( Samedi, 31 Août 2024 04:44 )  
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Madagate Affiche

 

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